1. Sodomisé par mon étudiant (1)


    Datte: 18/09/2018, Catégories: Gay

    ... savoir que j’informerai mon ambassade. Mais il n’y avait rien à faire. La nudité intégrale fut la règle. J’étais gêné. Il était encore plus beau que je n’imaginais. Il avait de plus un sexe magnifique, gros, avec une circoncision qui permettait de bien mesurer toute l’ampleur d’un gland magnifiquement taillé et splendidement ourlé, et des couilles très pendantes, notamment celle de gauche. Ses burnes étaient lisses, magnifiquement épilées ainsi que sa bite. Il n’avait laissé qu’une toison pubienne très entretenue. C’était magnifique. Qu’allait-il penser de moi avec mon sexe "dans son jus" ? Fort heureusement, la situation état suffisamment grave pour que cela ne m’excite pas trop et ne me donne pas envie de bander. Quand, à nouveau, on nous laissa seul, Amjad me dit : - Merci m’sieur. - Merci de quoi ? - Ben, de m’avoir accompagné. - C’était normal. - Ben ouais mais maintenant la situation est peut-être génante pour vous. - Elle l’est en effet. - Je suis désolé. - C’est rien. Pas de votre faute, les autres connards ! - En tout cas j’apprécie ce que vous venez de faire. - C’est à dire? — Vous laisser mettre nu pour que je ne me sente pas humilié... - J’aimerais que cela reste entre nous. Nous eûmes ce petit dialogue alors qu’il nous était formellement interdit de parler. Nos gardiens revinrent donc aussi sec, nous ayant sûrement épiés. La fouille recommença mais, comme nous étions nus, de façon beaucoup plus intime... Ils commencèrent par lui. Il dut se pencher sur une table, ...
    ... la mienne étant un peu en retrait de la sienne. L’un des pandores enduit ses doigts gantés de vaseline et commença à lui fouiller l’anus d’une façon plus prolongée et plus approfondie que l’enquête ne le désirait. L’autre faisait de même avec moi. Je ne déteste pas qu’on me fouille le cul, au contraire! Mais là le sentiment d’humiliation était tel que j’en pleurais d’impuissance et de rage. Légèrement devant moi, à ma gauche,le type tournait et retournait ses doigts dans le trou d’Amjad. Je vis que ce dernier bandait, une bonne grosse bandaison. Une queue magistrale, très belle. Je me mis à bander aussi du coup avec finalement un peu moins de scrupules en voyant l’effet que cela lui faisait.. Les mecs qui nous doigtaient riaient entre eux et plaisantaient, sur notre dos sans doute, dans leur langue barbare. Je finis par dire que c’était assez. Ils se calmèrent et cessèrent. Puis ils nous rendirent nos vêtements et nos valises et nous libérèrent sans un mot d’excuse. La garde à vue avait duré trois heures et demie. Nous prîmes un taxi. - Ça va Amjad ? - Ça va monsieur, ça va... et vous. - J’enrage. Je me sens... je me sens... - Tout ça c’est de ma faute ! - Vous n’y êtes pour rien.... on est tombé juste sur des gros porcs vicieux.... - Vous allez raconter cela à vos collègues ? - Sûrement pas ! Quelle honte ! Je... je compte sur votre discrétion auprès de vos camarades. - C’est clair. D’ailleurs il faudrait peut-être qu’on s’accorde sur ce que l’on va dire ? - Oui, vous avez ...
«1234...»