1. Sodomisé par mon étudiant (1)


    Datte: 18/09/2018, Catégories: Gay

    ... raison. Alors qu’est-ce qu’on va raconter ? Le reste du trajet fut donc consacré à mettre au point un scénario qui passerait sous silence la fouille anale et la mise à poil. Les embouteillage nous permirent de nous mettre d’accord et d’évacuer un peu la gène que nous ressentions. Nous essayâmes même de faire un peu d’humour pour détendre l’atmosphère. Nous parvînmes à l’hôtel juste après l’arrivée du groupe qui avait eu sa visite et s’inquiétait pour nous. - Alors ? - On vous racontera. Là, on a juste besoin d’une douche avant le repas. - Oui, bien sûr. Mais un nouveau problème se posa. Il y avait erreur dans les réservations. Il manquait un couchage, les étudiants étant placés dans des chambres de deux ou trois, non mixtes. C’est le genre d’incident que nous analysons au retour pour voir d’où vient l’erreur et comment la réparer. Aucune autre chambre n’était disponible dans l’hôtel. Mais collègues féminines qui occupaient la même chambre ne pouvaient pas accueillir d’étudiante, faute de lit. Ma chambre au contraire en avait deux. La solution était que je prenne un élève avec moi. Amjad se proposa spontanément : - Avec les soucis que je vous ai causés aujourd’hui, je peux bien rendre ce service. J’acceptais, soulagé. Après tout, l’expérience vécue ensemble dans cet affreux bureau des douanes nous avait donné une certaine intimité et je préférais cela à la gène de me retrouver avec un autre étudiant dont je ne connaissais rien, d’autant plus que peu se précipitaient pour ...
    ... partager la chambre avec un prof. C’est beaucoup moins drôle qu’avec les copains. Nous gagnâmes donc notre chambre. Il y avait un grand lit à deux places et un plus petit juste au dessus à la perpendiculaire en mezzanine. - Vous prenez lequel Amjad ? - J’vous laisse le grand si vous voulez. - Merci. Tenez prenez votre douche le premier. Vernis comme nous sommes vous verrez qu’il n’y aura bientôt plus d’eau chaude. Autant que vous en profitiez. Amjad rangea ses affaires dans la penderie et se mit à poil devant moi. Je tournai le regard. Il s’en aperçut. - Oh excusez-moi Monsieur. Je crois que je vous ai gêné. J’ai pensé qu’après tout à l’heure... et puis l’habitude des vestiaires de sport. - Non... non... aucune gène... Si c’est bon pour vous...Enfin c’est comme à la douane... que cela reste entre nous... vous comprenez.... et si une de mes collègues ou un de vos camarades frappent à la porte... - Oui... oui... je comprends.... - Mais surtout, vous avez raison... après ce qu’il s’est passé, plus de gène entre nous. D’ailleurs, vous voyez, je me mets à l’aise aussi. Et je me déshabillais devant lui, avec une posture un peu artificielle, c’est vrai, faussement à l’aise mais pas si mécontent que cela de m’exhiber face à lui. Il me fit un grand sourire plein de candeur, du genre " j’aime mieux ça... j’ai eu peur d’avoir fait une bêtise". Complètement rasséréné, il prit sa douche et j’en fis de même après lui. Puis nous descendîmes pour le dîner.Nous étions à des tables séparés. Chacun ...
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