Sodomisé par mon étudiant (1)
Datte: 18/09/2018,
Catégories:
Gay
... amoureux de vous. Faut me croire. C’est pas un fake ! - Retournez dans votre lit Amjad et on oublie tout cela? Dis-je avec un ton que je voulus ferme et autoritaire mais qui cachait mal sans doute l’absence de conviction. - Vous n’êtes pas libre ? - Si... si, mais ce n’est pas la question. Et de fait ma femme avait demandé le divorce depuis un peu plus d’un an. Notre couple ne marchait pas. Elle avait dû comprendre secrètement que j’étais attiré par les hommes. On avait arrêté les frais au bout de 19 ans d’union. - Alors c’est quoi la question ? - Regagnez votre lit, je vous l’ordonne. - OK, OK... Mais à une condition. - Laquelle ? - Que vous m’expliquiez pourquoi vous bandez là, alors que je suis sur vous. - Il n’y a rien à expliquer. - Monsieur, si vous me dites que vous bandez juste par ce que vous avez envie de tirer un coup, OK je me casse... Ou alors dites-moi que vous m’aimez aussi. Il m’avait pris au piège... je ne pouvais pas lui mentir.... pas lui dire que j’avais juste envie de baiser. Certes j’étais très chaud, certes j’aspirais à faire l’amour avec lui mais il m’avait deviné. J’étais amoureux de lui. - Ô ! Amjad, Amjad... Il se rapprocha encore de moi. Nos lèvres étaient à un millimètre les unes des autres. Il dit tout bas. - Alors.... dites-moi que vous ne m’aimez pas. Jurez-le moi... et je m’en vais. Je ne parlerai à personne. Personne ne sait que je suis gay... sauf vous... et je vous aime éperdument... On en restera là.... Sa lèvre inférieure effleura ma ...
... lèvre supérieure, les deux lèvres se caressèrent, timidement, amoureusement. Nos souffles s’échangèrent. - Amjad mon amour... Amjad... il ne faut pas ! Nos baisers devinrent de plus en plus appuyés, puis nos langues partirent à la découverte l’une de l’autre, très doucement, très longuement et enfin nous nous libérâmes en nous embrassant à bouche-que-veux-tu, avec toute l’ardeur d’un nouvel amour. Mes bras se refermèrent sur ses larges épaules, mes jambes se replièrent sur ses fesses, nos corps tortillèrent l’un sur l’autre sous la chaleur de l’étreinte. Et pendant de longues minutes, ce ne fut que des "Je vous aime... mon amour" et il disait que c’était le plus beau jour de sa vie. - Je vous aim... je t’aime... merde, comment on va dire ? - Il faut que pour tout le monde tu restes mon élève et que je reste ton professeur. - Mais... tu es mon amant désormais... je ne veux plus me passer de la chaleur de ton corps.... de toi. - C’est fou, Amjad mon amour. Nous n’aurions pas dû. Mais si on veut éviter les gaffes il faut continuer à se vouvoyer. Même si tu es majeur, si on apprend notre relation... je suis foutu. Je serai obligé de quitter le lycée devant le scandale. - Non, non... jamais ça, je tiens trop à vous.... à toi.... Et il m’embrassa fougueusement. Je dois convenir que ces heures étaient délicieuses, les plus belles même de ma vie sentimentale et sexuelle. Nous restâmes ainsi très longtemps à nous embrasser et à nous dire des mots doux, puis, lentement, il descendit sur ...