Je peux vous donner une photo ?
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
fh,
Oral
fsodo,
... que tu avais gardé ta robe : tu as juste eu le temps de la rabattre. Il n’a pas pu voir ce qui se passait en-dessous, mais tu as dû le rassurer et le câliner avec ma queue plantée dans le cul, sans pourvoir te lever, sans quoi il aurait demandé pourquoi le monsieur il avait le zizi à l’air. Déjà qu’il s’est étonné de te voir assise sur le monsieur… Et la fois où l’on se livrait au petit jeu de la fessée. Là aussi, Dieu merci, tu avais ta jupe. J’ai juste eu le temps de la rabaisser et de te remettre sur pied. Je vois très bien ton bout de chou demander « Qu’est-ce qu’elle a fait comme bêtise, Maman, pour mériter pan-pan cucul ? » Et, coup de chance, nous étions de l’autre côté de la table. La nappe a caché que tu avais ton slip aux genoux. D’ailleurs là, chapeau ! Tu as réussi à le retirer avec grâce et discrétion pour le raccompagner dans sa chambre. Et…— Arrête ! Je sais. Je te promets que je ferais plus attention.— Tu me l’as déjà promis. Tu te retiens, une fois, deux fois et la troisième fois tu vocalises et je ne parle pas des fessées. Il rit. — Qu’est-ce qu’il y a de drôle ?— J’imagine la tête de tes collègues s’ils voyaient la redoutée directrice se faire fesser cul nu comme une gamine mal élevée.— Je préfère ne pas imaginer. Je crois que ça ferait le sujet de conversation à la boîte pendant des mois, répond-elle en pouffant à son tour. De toute manière, mes fesses ne regardent que moi… et toi, ajoute-t-elle en l’embrassant, avant de porter ses lèvres plus bas. Bernard ...
... retrouve rapidement toute sa raideur. Satisfaite du résultat obtenu, Catherine l’enjambe et met bien au fond de son intimité le pieu dressé. Elle monte et descend le long de cette colonne de chair. Il commente : — Tu as récupéré, à ce que je vois.— Si on ne vit pas ensemble, il faut que j’en profite quand on se voit. Elle soutient un bon rythme. Même quand il se saisit de ses seins pour leur faire subir le même traitement qu’en début de soirée, elle continue, donnant simplement un peu plus de la voix. Bernard donne de larges impulsions à son bassin, le soulevant presque du lit, allant au-devant des mouvements de sa partenaire. La cadence devient de plus en plus rapide. Elle tente de réprimer un cri et se laisse aller en avant pour embrasser Bernard qui continue à la pilonner jusqu’à ce qu’il lâche au plus profond de sa grotte sa liqueur. Elle bascule sur le côté tout en continuant à l’embrasser. Comme elle se redresse pour reprendre son souffle, son regard tombe sur le réveil. En voyant l’heure, elle s’arrache à regret aux bras de son amant : — Mon Dieu, il est déjà cette heure-là ? Il faut que je rentre vite pour libérer la baby-sitter avant le dernier métro. Elle se lève précipitamment et va directement récupérer ses affaires abandonnées dans l’entrée. Il l’accompagne, lui suggérant de prendre le temps de se nettoyer un peu. Elle répond qu’elle n’a pas le temps et que de toute manière elle garde ainsi un peu plus longtemps un souvenir de lui. Elle met à peine plus de temps ...