1. Je peux vous donner une photo ?


    Datte: 20/09/2018, Catégories: fh, Oral fsodo,

    ... est possible, encore plus inondé que tout à l’heure. Il opère longuement, titillant le bouton, caressant les lèvres, enfonçant un, deux ou trois doigts. Elle s’appuie sur la table et se cambre en écartant les jambes, faisant ressortir son cul rougi. Bernard se redresse, enfonce son manche à la place de ses doigts et la ramone consciencieusement. Elle gémit doucement d’abord, puis de plus en plus fort. De petits cris viennent ensuite ponctuer chaque coup de boutoir. Elle ondule à leur rythme et va à leur devant. Pouliche et cavalier vont ainsi un bon quart d’heure, alternant pas, trop et poussant même quelques galops. Durant un de ceux-ci, la cavale se désunit ; ses mouvements deviennent désordonnés et elle lâche un long cri sourd. Bernard se maintient en selle. Après une dernière ruade, elle s’apaise, ses jambes flageolent. Il prend une allure moins soutenue pour permettre à sa monture de repartir en douceur. Malgré sa lassitude sous les coups d’aiguillon, elle reprend la course. Ses mouvements se synchronisent avec ceux de son écuyer. La fatigue est oubliée ; la chevauchée reprend de plus belle. La haquenée hennit à tout vent son contentement d’être montée. La nouvelle reprise dure bien au moins aussi longtemps que la précédente avant de se transformer en rodéo. Elle agite sa croupe en tous sens. Bernard ne se laisse pas désarçonner. Après un dernier coup de reins accompagné d’un cri à peine étouffé, la monture s’effondre, haletante. Le jockey se rend à l’évidence qu’elle ...
    ... n’ira pas plus loin. Il se retire doucement. Privée de ce point d’appui, les jambes de la jument fléchissent. Il l’aide à se redresser et l’entraîne, chancelante, vers la salle de bain. Rafraîchis, ils vont s’allonger sur le lit. Elle se pelotonne contre lui : — On devrait vivre ensemble.— Catherine ! On en a déjà parlé plusieurs fois. Tu sais que ton travail peut t’appeler hors de Paris à tout moment.— Oui, mais maintenant il y a Thomas.— Depuis sa naissance, tu as quitté la Californie pour Montréal avant que l’on ne te fasse revenir à Paris.— Mais il grandit et…— Je doute que ce soit un facteur déterminant pour ton travail. Et je ne me sentirais pas à l’aise. Elle se serre un peu plus contre lui, ronronnant presque comme une chatte : — Tu viens de montrer que tu es plutôt à l’aise avec moi.— C’est avec Thomas que je me sentirais gêné. Je ne veux pas être quelqu’un qui passe dans sa vie en attendant ta prochaine mission au Diable Vauvert ; et, comme tu dis, il grandit. Il a cinq ans maintenant. Tu sais qu’au plus fort de l’action, tu es… heu vocalement démonstrative et en t’entendant, s’il ne dort pas très profondément, il se réveille et s’inquiète de t’entendre crier. Heureusement, jusqu’à présent il t’appelle en venant généralement, ce qui nous laisse un peu de temps pour reprendre contenance. Mais rappelle-toi à plusieurs reprises ça a été plus que tangent. Il y a eu la fois où, dans la cuisine, j’étais assis sur une chaise et tu étais venue t’empaler sur moi. Heureusement ...
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