Je peux vous donner une photo ?
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
fh,
Oral
fsodo,
... Il regagne sa chambre. Il voulait la voir, il la voit. Il voulait parler avec elle, c’est raté. Elle ne lui laisse pas placer un mot : c’est une véritable tornade qui s’abat sur lui. Julie lui saute carrément dessus, clouant sa bouche en reprenant le baiser là où l’arrivée de Charles l’avait interrompu. Pour la repousser, il faudrait littéralement se battre. Elle sent à nouveau ses réticences. Elle se recule un peu, sans le lâcher pour autant, le regarde dans les yeux et murmure « S’il te plaît… » avant de ressouder ses lèvres aux siennes. Depuis le début, il est tombé sous son charme ; mais les circonstances de leur rencontre, la différence d’âge, Ariane, la famille Tanson-Leplantier et Catherine l’avaient entraîné à ne songer à elle que de manière désincarnée. La sentir palpitante, femme, accrochée à son cou, font voler cette ambiguïté en éclats. Il la prend dans ses bras, répond à son baiser jusqu’à ce qu’elle se laisse glisser à genoux et descende son pantalon de pyjama. Elle regarde, étonnée par ce qu’elle vient de dévoiler. Même s’ils ne sont pas légion, Bernard est plus gros et plus long qu’aucun des copains qu’elle a eus jusqu’à maintenant. Sa surprise passée, elle se met à l’ouvrage avec cœur. Après l’avoir laissée s’activer pendant une dizaine de minutes, il la redresse. Elle en profite pour retirer prestement sa chemise de nuit avant de se suspendre à nouveau à son cou pour l’embrasser fougueusement. Il la soulève et, leurs lèvres toujours unies, il la porte ...
... jusqu’au lit. Il abandonne ses lèvres du haut pour s’occuper de ses lèvres du bas. Elle apprécie et roule des hanches. Il n’arrête que pour plonger ce qu’elle a si bien réussi à dresser au fond de son puits d’amour. Il se met à la ramoner, changeant rythme et puissance de ses coups de queue. Après être grimpée aux rideaux, elle se remet à le sucer. Elle est de nouveau surprise, mais par sa résistance cette fois. Les muscles de ses mâchoires devenaient douloureux quand il l’avertit qu’il va cracher son foutre. Ses lèvres restent soudées à son gland, et c’est au fond de sa gorge qu’il se répand enfin. Avec ses ex, quand elle les pompait, aucun ne tenait aussi longtemps avant de lâcher la sauce. Ils lui reconnaissaient un talent certain de suceuse. Après avoir avalé, elle ne peut s’empêcher de lui faire une remarque sur sa résistance. Il explique qu’il peut avoir des éjaculations difficiles à venir. Elle avait entendu parler d’éjaculations précoces, mais pas de l’inverse. Cela l’étonne. Il précise que ce n’est pas forcément une bénédiction. Elle lui demande pourquoi ; il essaye d’éluder mais, devant son insistance, il finit par expliquer qu’il lui est arrivé d’épuiser sa partenaire sans arriver à l’éjaculation. C’est vrai qu’elle commençait à fatiguer. Un rapide calcul, et elle voit que cela faisait plus d’une heure qu’il était en action. Elle demande : — Combien de temps peux-tu tenir ?— Je ne sais pas trop, mais ça arrive à trois heures, même à quatre heures, et je m’arrête toujours ...