Je peux vous donner une photo ?
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
fh,
Oral
fsodo,
... se battre c’est… lui. Elle se presse encore plus contre lui, trouve à nouveau ses lèvres. Il se sent perdu. Il désirait la serrer dans ses bras, mais le redoutait par-dessus tout, craignant de n’être attiré par la jeune fille qu’à cause du reflet de son amour perdu qu’elle lui offre et non pour elle-même. De sa langue, elle force ses lèvres. S’il ne répond pas à son baiser, au moins n’a-t-il pas eu de recul. Elle regrette de ne pas être en jupe pour pouvoir prendre sa main et lui faire constater l’effet qu’il lui fait. Avec un pantalon, c’est un peu plus compliqué. Elle glisse sa main entre leurs ventres pour déboutonner son pantalon, mais des pas et des appels retentissent. Charles, l’un des fils du propriétaire, vient les chercher avec une lampe électrique. Ils se séparent ; elle en hurlerait de rage et de frustration. Bernard répond aux appels, l’aide à descendre et remercie Charles d’être venu ; elle aussi, bien qu’elle ait plutôt envie de le vouer aux gémonies. Avant de rejoindre la salle à manger, Julie passe par sa chambre pour changer de culotte, celle qu’elle porte – malgré le protège-slip – ayant quelque peu souffert de l’humidité. Il lui semble que le repas n’en finit pas ; pourtant ses hôtes sont charmants, mais elle a d’autres idées en tête. Dès que la décence le lui permet, elle se déclare fatiguée, s’excuse et regagne sa chambre tandis que Bernard reste à discuter. Après un passage par la salle de bain, elle retourne à sa chambre d’où elle épie son retour. Et ...
... il s’attarde, perturbé par ce qui vient de se passer dans le lanternon ; il poursuit la conversation pour éviter d’y trop penser, mais il ne peut retenir son hôte indéfiniment et se résout à quitter la salle à manger deux heures après Julie. De son côté, elle bout d’impatience en l’attendant ; elle doit se retenir de se précipiter quand il arrive à l’étage. Il rentre dans sa chambre. Elle se prépare à s’y glisser à son tour quand elle l’entend tirer le loquet. Elle est arrêtée dans son élan ; elle en pleurerait. Elle hésite un long moment sur la conduite à tenir et retourne dans sa chambre. Un peu plus tard, elle entend Bernard se diriger vers la salle de bain. Dès qu’il y a disparu, elle se précipite dans la chambre pour l’y attendre. La chemise de nuit qu’elle porte, en coton, à manches longues, qui lui arrive à mi-mollet, n’a rien de sexy. Elle hésite à la retirer illico. Elle se rend bien compte que déjà elle se jette littéralement dans ses bras et se conduit comme une gourgandine (elle aime bien ce mot un peu désuet) ; alors elle garde cet ultime rempart à sa fierté, mais elle n’a pas l’intention de la conserver très longtemps. De toute manière, si elle veut faire bouger les choses, il faut qu’elle les prenne en main. Ayant terminé ses ablutions, Bernard hésite devant la porte de Julie. Il faudrait qu’ils parlent, qu’il mette les choses au point. Il se décide, malgré l’heure tardive, à toquer discrètement. Point de réponse. Il est partagé entre déception et soulagement. ...