Je peux vous donner une photo ?
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
fh,
Oral
fsodo,
... accueilli un calibre aussi gros dans son petit cul. Elle avait oublié les proportions de son partenaire quand elle avait fait sa demande. C’est en le sentant entrer que cela se rappelle à son bon souvenir. Elle se sent comme ouverte en deux et pense un moment lui demander d’arrêter, mais renonce. Si ce n’est pas agréable, ce n’est pas douloureux non plus. De toute manière, c’est à moitié entré maintenant. Bernard se rend compte du flottement de Julie. Il marque une pause et se prépare à un repli stratégique quand il la sent tendre encore plus les fesses dans une invite sans équivoque à poursuivre sa prise de possession, ce qu’il fait avec précaution. Son engin finit par disparaître complètement. Elle sent les poils de son pubis lui chatouiller les fesses. Il commence à lui labourer le croupion. Pour Julie, toute sensation désagréable s’estompe ; elle va maintenant au-devant de ce pieu qui l’envahit. Elle prend son pied comme jamais elle ne l’avait pris en se faisant enculer. Tout comme Julie, Bernard commence à fatiguer, mais il tient toujours. Après une pause toilette, ils reprennent leurs ébats. Elle l’accueille à nouveau dans sa chatte, dans sa bouche. Elle le chevauche presque comme un automate. Elle se soulève un peu plus ; la queue luisante de Bernard sort complètement de sa chatte. Elle se laisse retomber pour la faire disparaître d’un coup dans son autre trou. Elle monte, elle descend de plus en plus vite et jouit, pour la deuxième fois de la soirée, de se faire ...
... enculer. Dans un état second, elle se dégage pour tomber à genoux et dans la foulée se mettre à le sucer. Elle réalise qu’elle vient de le prendre dans sa bouche directement sorti de son cul. Hier encore, cette idée lui aurait soulevé le cœur et elle aurait poussé les hauts-cris si on la lui avait suggérée. Aujourd’hui, cela ne l’arrête pas ; elle continue de plus belle. C’est une queue nickel que Bernard plonge pour la nième fois dans son con. Brusquement, épuisée, elle s’endort d’un coup, le sexe de Bernard encore en action dans le sien. Il s’en aperçoit et se retire délicatement, et met peu de temps à la rejoindre dans le sommeil. La nuit a été courte ; le réveil est difficile. C’est Julie qui a le plus de mal à démarrer. Elle a l’impression d’être passée à la moulinette. Ses seins, objet de nombreuses attentions, sont lourds. Sa chatte est encore congestionnée ; quant à son cul, il est plus que sensible. Elle a l’impression que le membre de Bernard y est encore planté. De son côté, son gland lui rappelle qu’il a été longuement sollicité. Après quelques tendres bisous et des ablutions, ça va un petit peu mieux. Elle reconnaît sa défaite, mais ajoute qu’elle accepte volontiers et même souhaite en connaître d’autres comme ça. En se rendant au petit-déjeuner, elle a malgré tout la démarche d’un cow-boy qui vient de passer une journée en selle. Le petit-déjeuner achevé, elle suit Bernard et leur hôte qui vont étudier les projets du comte et leur faisabilité. Le reste de la journée ...