1. Je peux vous donner une photo ?


    Datte: 20/09/2018, Catégories: fh, Oral fsodo,

    ... Cuisses, seins, fesses… Elle avait moins de poils sur son minou. Assise sur son lit, elle observa particulièrement celui-ci, le tâta, écarta les lèvres, essaya d’y mettre un doigt mais ça lui fit mal. Elle pensa que jamais quelque chose d’aussi gros qu’un sexe comme celui de son père ne pourrait passer par là. Elle se demanda si elle était normale, si elle pourrait un jour faire l’amour avec un garçon. Cette inspection détaillée lui avait par contre permis de faire une découverte intéressante : le petit bouton dissimulé entre ses lèvres. Elle l’avait fait sortir de sa cachette pour l’étudier. Ces effleurements la mirent en émoi. Elle insista, et tout comme sa mère tout à l’heure, elle écarta les cuisses et ondula du bassin jusqu’à un feu d’artifice qui la laissa pantelante. Son sexe avait bavé, ses doigts étaient poisseux. Elle alla se laver, mais dut être particulièrement délicate, son bouton étant très sensible. Combien de fois avait-elle mis cette découverte en application ? Des centaines et des centaines, parfois plusieurs fois par jour. Aujourd’hui encore, elle ne dédaigne pas de laisser sa main s’égarer… Il y a quelques mois, elle avait eu confirmation, si besoin était, du goût de ses parents pour la bagatelle. Elle était passée un après-midi à Versailles pour récupérer des affaires. La maison aurait dû être déserte, son père au travail, sa mère à l’une de ses activités ; c’était le jour où elle laissait les petits à la garderie pour avoir du temps pour elle, et les ...
    ... grands à l’école ou au lycée. Or, en rentrant, elle avait entendu du bruit. Elle s’était dirigée vers celui-ci pour apercevoir son père assis sur un canapé, le pantalon sur les mollet et sa mère seulement vêtue de son chemisier, à genoux au-dessus de son mari, montant et descendant sur le pieu planté en elle. Contrairement à ce qu’elle avait fait dix ans plus tôt, Julie s’était éclipsée pour revenir à l’heure de sortie des écoles. Non sans se poser, une fois dehors, la question de savoir si sa mère n’accueillait pas son père là où elle ne pouvait concevoir un autre enfant. Même si son dépucelage avait été un peu laborieux, Julie souriait en repensant à ses craintes de ne pouvoir faire l’amour. Au moins n’a-elle pas de doute sur l’origine de son goût pour le sexe : c’est un héritage familial. Julie a décidé de ne pas encore parler de Bernard, mais sa mère lui donne l’occasion de préparer le terrain quand elle lui propose d’inviter Marc pour le dîner. Elle explique que Marc et elle se sont séparés après avoir eu des mots, et qu’il est hors de question qu’elle le revoie. Sa mère n’insiste pas, ne pose pas de questions et, alors que son mari ouvrait la bouche pour parler, d’une pression sur le bras, elle l’en dissuade. Un peu plus tard, Joëlle, qui avait tout entendu, lui dit : — Alors, toi aussi, tu as largué ton mec !— Pourquoi, moi aussi ?— Ben, Jade aussi a viré le sien.— Quand ?— Ça doit faire dans les deux semaines. Julie se garde bien de poser d’autres questions ; mais ...
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