1. Je peux vous donner une photo ?


    Datte: 20/09/2018, Catégories: fh, Oral fsodo,

    ... rose de ses cousins qu’elle apercevait lorsqu’on les changeait. Sa mère gratifia la chose de petits baisers et de coups de langue qui la firent encore grossir. Elle la prit ensuite dans sa bouche pour la sucer comme un gros sucre d’orge, ce qui fit dire à son père : — Tu es vraiment une suceuse de première. Sa mère s’interrompit un moment pour répondre : — C’est grâce à une pratique régulière que je me suis perfectionnée ; de plus, j’ai une bonne connaissance du sujet. Elle se mit ensuite à quatre pattes. Son père se plaça derrière elle, la saisit par les hanches, pointa son pieu et l’enfonça d’un coup. Sa mère n’eut pas un mouvement de recul ; au contraire, elle tendit les fesses et se cambra encore plus, allant au-devant de l’assaut. Après un moment de silence seulement rompu par des halètements, son père lança : — Tu le tends, ton cul de chienne en chaleur ?— Oui. Je ne suis qu’une chienne en chaleur. Je suis ta chienne.— Tu aimes ça, la queue, hein salope…— J’aime ça. Vas-y ! Défonce-moi avec ta grosse queue de baiseur.— Tu es comme les scouts : toujours prête. Eux, c’est pour faire leur BA, et toi c’est pour te faire sauter… Tu aimes tellement écarter les cuisses que je me demande comment tu peux marcher normalement.— Oui : je suis une poufiasse qui aime se faire ramoner la chatte.— Alors profites-en, remue ton cul ! Pour ça, la mère de Julie n’avait pas besoin d’être encouragée ; pour le remuer, elle le remuait avec beaucoup de conviction, et pas seulement lui. Tout ...
    ... son corps accompagnait le mouvement, jusqu’à ses seins qui semblaient animés d’une vie propre et s’agitaient en tous sens. — Tu la sens, ma pine dans ton con de garce, et tu veux que je continue à la mettre ?— Ne t’arrête pas ! Continue à baiser ta petite pute… Les phrases continuèrent à se succéder. Julie n’en revenait pas de la violence de l’action et de la crudité des propos où il était question de cul, de con, de chatte, de queue, et où sa mère se faisait traiter et se traitait elle-même de pute, de pouffiasse, de salope et autres gracieusetés qu’elle ne comprenait pas toujours. Soudain, sa mère se raidit, frémissante, étouffant un gémissement la tête dans l’oreiller. Son mari redoubla d’activité avant de se figer à son tour, fiché en elle jusqu’à la garde. Il se recula doucement. Julie aperçut son sexe luisant qui perdait de sa rigidité. Son père rejoignit sa mère sur le lit. Ils échangèrent des baisers, des « Je t’aime » et des mots d’amour qui contrastaient singulièrement avec ceux qu’ils échangeaient quelques instants plus tôt. Julie, jusque là hypnotisée, revint sur terre avec l’accalmie. Elle prit conscience qu’elle risquait d’être découverte ; elle se recula doucement vers le couloir et retourna dans sa chambre, ses angoisses oubliées. Dans celle-ci, elle retira sa chemise de nuit et se planta devant le miroir pour se détailler. Elle l’avait déjà fait, mais là elle se regarda d’un œil différent. Elle se compara à sa mère. Chez elle, tout était moins développé. ...
«12...192021...27»