1. Je peux vous donner une photo ?


    Datte: 20/09/2018, Catégories: fh, Oral fsodo,

    ... de la jeune fille fait remonter tant de souvenirs, heureux par certains côtés, mais si douloureux par d’autres. Le soir, Julie retrouve Marc. Il se montre empressé ; ça la démange aussi. Ils se retrouvent rapidement au lit. Ils en sont aux préliminaires quand elle raconte sa visite et ses résultats. Ça lui tient à cœur, même si le moment n’est pas des mieux choisis. Marc, qui a d’autres choses en tête, répond évasivement avant de lâcher devant l’insistance de Julie : — Au moins, ta ressemblance avec ta cousine servira à quelque chose. Tu as trouvé le bon filon ; tu as raison d’en profiter. En entendant ça, elle se renfrogne : — Je ne cherche pas à profiter : c’est lui qui propose, ça lui fait plaisir de m’aider !— Tu fais tout pour le mettre dans ta poche : tu l’invites à boire un verre, et puis chez ta tante… etc.— Je ne demandais rien en échange. C’était par sympathie. D’ailleurs, je ne suis pas sûre que l’emmener chez tante Antoinette ait été une bonne idée. Il était plutôt réticent. Il a dû venir plus pour me faire plaisir qu’autre chose. Marc rigole : — Eh bien, pour qu’il veuille autant t’être agréable, tu as dû y mettre le paquet ! Tu lui as peut-être permis de retrouver avec toi des plaisirs qu’il avait avec sa chérie. À mon avis, elle ne devait pas être aussi douée que toi pour le crac-crac. Il pensait faire un bon mot et un compliment, mais il est tombé à côté. Julie réagit comme si un serpent l’avait mordue. Elle est outrée et lui fait savoir qu’elle n’est pas ...
    ... une pute qui se sert de son cul pour faire avancer ses affaires, et que Bernard n’avait jamais eu le moindre geste équivoque. Il essaie de calmer les choses et d’expliquer que c’était de l’humour maladroit, mais de l’humour ; mais elle est tellement remontée qu’elle l’entend à peine. Elle s’habille, il tente de la retenir, elle se dégage d’une secousse et déclare qu’il a tort de se compromettre avec une pouffiasse et elle le plante là, le sexe encore dressé. Elle quitte les lieux, écumante. « Ah, c’est comme ça ? Et bien il va voir, cet imbécile ! » —ooOoo— On sonne à la porte de Bernard. Il va ouvrir. Avant qu’un mot ne soit échangé, la femme se suspend à son cou et l’embrasse. Le baiser dure. Un bruit de pas dans l’escalier les ramène à la réalité, il la fait entrer. Il glisse sa main sous la robe. S’il est surpris de ne pas trouver la culotte qui aurait dû s’y trouver, il n’en laisse rien paraître. Ses doigts entrent directement en contact avec le vif du sujet. Un vif du sujet dégoulinant, si dégoulinant qu’un slip aurait ressemblé à une vieille serpillère. Bien sûr, dans d’aussi bonnes dispositions, elle a pour réaction d’ouvrir un peu plus les cuisses. Elle gémit doucement quand brusquement elle se dégage et retire – ou plutôt arrache – ses vêtements. Opération fort brève puisqu’elle ne porte qu’un imperméable et une robe. Elle s’agenouille, sort le sexe de son hôte, déjà dans de bonnes dispositions, se passe la langue sur les lèvres et l’engloutit. Après lui avoir donné ...
«12...678...27»