Je peux vous donner une photo ?
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
fh,
Oral
fsodo,
... fière allure, elle s’arrête pour regarder son œuvre. Il en profite pour la faire se lever, finir de se dévêtir et l’entraîner vers la chambre. Elle se dirige vers le lit ; il l’arrête et se met à tourner autour d’elle, lui effleurant la joue, le cou, les fesses, les reins, le ventre, explorant le petit buisson ardent. Il s’arrête derrière elle et lui ordonne de mettre ses mains sur la tête. Il glisse les siennes sous ses bras et les dirige vers ses seins, deux magnifiques globes de la taille d’un melon aux larges aréoles foncées. Il les cajole, les soupèse, les fait tressauter un moment avant de refermer ses doigts dessus, saisissant les pointes, les pinçant, les étirant, les tordant. Ainsi traitées, elles gonflent et durcissent. Les gémissements de leur propriétaire mêlent douleur et plaisir, mais surtout ce dernier. Il la pousse à quatre pattes sur le lit et, dans le mouvement, saisit ses hanches et se plante dans sa féminité. Elle émet un long feulement, remplacé par un halètement de plus en plus rapide. Elle étouffe un cri en prenant son pied. Bernard continue plusieurs minutes sur sa lancée avant de sortir de l’accueillant fourreau. Elle se retourne pour le prendre dans sa bouche et le pomper en s’accompagnant de la main. Elle s’active, devant se ménager de temps à autre une pause pour détendre sa mâchoire. Il la repousse doucement et suggère d’aller grignoter pour se remettre de leurs émotions. Elle acquiesce, se lève et se dirige vers la cuisine. Le popotin passant à ...
... portée, il ponctue son passage d’une tape percutante. Il prépare une solide omelette au jambon, qu’accompagnera une salade Ils mangent de bon appétit et parlent peu. Après le fromage, elle se lève et va chercher deux yaourts. Elle en lâche un qui s’écrase au sol. Elle s’empare d’une lavette et répare les dégâts : — Je suis désolée. Je suis très maladroite.— C’est surtout que tu penses à autre chose que ce que tu fais.— Pas du tout.— Que si ! Il va falloir te remettre les idées en place. En souriant, elle répond : — Et comment comptes-tu t’y prendre ? Il la saisit par le poignet et l’attire : — Tu dois bien t’en douter…— Oh ! Il la fait basculer sur ses genoux. Elle se débat mollement. — Tiens-toi tranquille ! Quand on fait des bêtises, il faut en payer le prix. Il la maintient solidement et commence à fesser fermement les fesses offertes. Les claques sonores se succèdent, chacune ponctuée d’un petit cri de la victime qui agite faiblement les jambes. Son postérieur commence par rosir, puis rougir. Bernard s’arrête alors : — Je crois que ça suffit comme ça. Tu feras plus attention la prochaine fois. Enfin, peut-être. Elle se relève et pose une main précautionneuse sur l’endroit qui la chauffe, enfin sur l’un des endroits qui la chauffent et renifle en gardant les yeux baissés. — Je suis désolée, je suis incorrigible.— Allez, c’est fini. Ce n’est pas grave ; tu n’es pas une méchante fille. Viens, je vais te consoler. Il lui passe la main entre les cuisses. L’endroit est, si cela ...