1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (11) : Rachid commence l’éducation d’Olga.


    Datte: 21/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    Ma rencontre avec Rachid avait été décisive. Désormais, je n’étais plus l’épouse au foyer qui trouvait le temps long, j’étais devenue la femelle de Rachid, avec qui je passais chaque journée, dès le départ de Philippe pour son travail. Je deviens la femelle de Rachid Je passais désormais mes journées à faire l’amour avec Rachid. J’étais insatiable, voulant rattraper toutes ces années perdues et Rachid, étant particulièrement endurant, retrouvait très vite sa virilité, aidé si besoin par ma bouche et mes caresses expertes. Rachid me disait souvent : • Tu es incroyable, je n’ai jamais vu une femme comme toi. Tu n’en n’as jamais assez. Je suis un sacré baiseur, mais c’est clair que je ne te suffis pas, tu vas me tuer si je ne procure pas d’autres mâles. • Tu me suffis, mon amour. Mais occupes-toi de moi. Encore ! Rachid n’avait aucun souci de discrétion, si bien que, très vite, tout l’immeuble sut ce qui se passait chez les T et nous jugeait sévèrement, j’étais définitivement cataloguée comme une putain et Philippe était méprisé pour sa complaisance. Rachid et moi sortions en ville, enlacés. Nous nous embrassions publiquement. Rachid avait encore renforcé mes tendances à l’exhibitionnisme qu’avait encouragées Philippe. Rachid voulait que je sois maquillée à outrance, portant des pantalons serrés ou des jupes « ras la touffe ». Il veillait particulièrement à ce que je ne porte jamais ni culotte ni string et que mes seins soient presque visibles. Lorsqu’il m’amenait au ...
    ... restaurant, dans un cinéma, il y avait forcément un passage par les toilettes pour me baiser ou pour que je le suce. Au retour, nous avions droit à des regards noirs de la part des autres femmes, ou des paroles complices de machos de service qui félicitaient Rachid et demandaient « alors, elle est bonne ? » Il répondait « Exceptionnelle ! Pour le moment, je me la réserve, mais je la mettrai bientôt à disposition.» Toute la ville, y compris les collègues de travail de Philippe, eurent connaissance de la situation. Il devenait la risée de tous et, en ce qui me concerne, le jugement était impitoyable, car j’avais repoussé il y a peu encore tous ces hommes qui rêvaient de me mettre dans leur lit. Jean et Christine étaient particulièrement furieux, car leur échec était tout récent. Christine ne cacha pas à Philippe ce qu’elle pensait : • « Ton Olga est vraiment une salope. Elle a repoussé mon Jean, prenant prétexte d’une petite défaillance, nous a humiliés devant nos invités et là, elle s’exhibe avec cette petite frappe. Elle n’a honte de rien, cette petite garce ! • Il a simplement fait ce qu’il fallait pour la faire définitivement basculée. Soyez patients, je suis convaincu qu’il va la transformer en salope intégrale ». Dès ce moment-là, j’aurais voulu que Rachid vienne vivre chez nous, car c’était une torture pour moi de le voir partir avant le retour de Philippe. A vrai dire, les pratiques sexuelles habituelles avec Philippe, qui commençaient par le nettoyage complet des traces de mes ...
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