1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (11) : Rachid commence l’éducation d’Olga.


    Datte: 21/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... ébats dans ma chatte, mon cul et sur tout mon corps, complété par le récit détaillé de ce que nous avions faits dans la journée, tout cela, même avec la tendresse de Philippe, ne me suffisait plus. Le premier week-end : une tenue plus qu’ambigüe Le premier week-end qui suivit ma rencontre avec Rachid, Philippe vit que toute la journée du samedi j’étais triste et que je pleurais. • Il me manque chéri. J’ai envie de lui, j’ai envie qu’il me baise, encore et encore. Je vais devenir folle 48 heures sans lui. • Tu sais que je ne supporte pas de voir comme ça, mon Olga. Appelle le, dis-lui qu’il vienne. • Toi mon cochon, tu n’attends qu’une chose avec impatience, c’est mater quand il me baise ! • Tu ferais ça pour moi, mon Olga ? Je t’aime. • Oui nous le ferons, Rachid me l’a promis. Mais il veut choisir le moment et l’organiser. Que nous nous en souvenions longtemps. • Alors, dis-lui qu’il vienne, je vous laisserai l’appartement pour le week-end. • Je t’adore ! Olga appela immédiatement Rachid : • Bonjour mon amour. Tu me manques, j’ai envie de te voir. Je ne peux plus me passer de toi. • Tu es terrible ! J’ai droit à du repos aussi ! • Ah non ! Moi je n’en ai jamais assez ! Philippe est d’accord pour nous laisser l’appartement tout le week-end • C’est sympa, il faudra qu’on lui accorde le spectacle ce qu’il attend avec impatience, mais ce n’est pas encore pour tout de suite. J’ai une idée : tu mets le top que je t’ai offert, tu sais celui qui est particulièrement décolleté et ...
    ... laisse ton nombril à l’air. Tu prends la jupe la plus serrée et la plus courte que tu as. Maquille-toi à outrance, en insistant sur les lèvres, je veux qu’elles soient bien rouges. Pour les yeux, les joues, utilise ce qu’on a acheté l’autre jour. Ah oui, n’oublie pas, ce que tu as de mieux en talons aiguilles, pour mettre tes jambes et ton cul en valeur. • Mais Rachid, tu vas me faire passer pour ce que je ne suis pas. • Mais si mon amour que tu es une putain. Ma putain. Fais ce que je te dis. Prends un taxi et attends-moi Boulevard Foch, près de la gare. • Rachid, c’est le quartier des prostituées. Je vais me faire embarquer pour racolage • Ça me plairait que les flics te baisent. T’inquiète, fais ce que je te dis. Obéis, femme ! J’obéis, à la fois excitée et inquiète. J’ai su plus tard que Philippe m’avait suivi à distance, pour intervenir si ça tournait mal. Dès le taxi, le ton était donné. • Et bien ma petite, on va à son travail. Hum si je n’étais pas de service, j’aurais bien été client • Ce n’est pas ce que vous croyez, Monsieur. Je vais rejoindre mon amant. • Ton mac, oui. Tu dois être une bonne gagneuse ! Le taxi m’a déposé près de la gare. Rachid m’avait dit d’attendre à proximité d’un hôtel, qui était sordide et réputé pour être un hôtel de passe. Je me suis mise à faire les cent pas, tortillant inévitablement du cul, tant ma jupe était serrée et les talons-aiguille n’arrangeant pas les choses. Rachid n’était pas là et mit plus d’une heure à arriver. Cela me parut une ...
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