1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (11) : Rachid commence l’éducation d’Olga.


    Datte: 21/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... te sauter. Arrivés à la chambre, Rachid s’installa dans un fauteuil, pour ne rien perdre du spectacle : • Tu la veux comment ? • Mets-toi à quatre pattes, je te prends en levrette, c’est bien ce qu’elle préfère, non ? C’est parfait pour une chienne comme elle. Avec l’Andromaque, c’est en effet la position que je préfère. Parce qu’elle a un côté bestial, elle se prête particulièrement bien à ce qui se passait ce jour-là. Ce n’était que du sexe, aucun sentiment, aucune tendresse. Au contraire, cet homme se vengeait de moi en me possédant, en me couvrant d’injures. Le pire, c’est que cette situation m’excitait, comme le fait que mon homme m’avait offert et assistait au coït. • Viens me la mettre ! Qu’est-ce que tu attends ? Il ne se fit pas prier et s’enfonça d’un coup. J’étais excitée et donc bien lubrifiée, d’autant que j’avais déjà été bien ramonée par Rachid depuis le début de l’après-midi. • Prends-ça, garce ! Ca te plait ? • Oui, salaud, tu me remplis bien. Vas-y, bien à fond, plus fort ! Plus vite ! Rachid n’en perdait pas une miette. Il se branlait doucement et encourageait le mâle qui était en train de m’envoyer en l’air. • Putain, elle est encore plus belle quand elle jouit. Tu verras, c’est incroyable le nombre d’orgasmes qu’elle est capable d’enchainer. Tu pourras la sauter à chaque fois que le cœur t’en dit mon ami. Je ferai d’elle la plus grande ...
    ... salope de cette ville ! • Son cocu avait raison de l’encourager. C’était du gaspillage qu’un tel trésor ne serve pas ! Je mis tout mon art pour le faire éjaculer, mais il tenait bon. Au moment où il était sur le point de jouir, il sortit de ma chatte, comme Rachid l’avait demandé et fit signe à Rachid d’approcher. • Viens Rachid, on va l’arroser tous les deux ! Ils se mettent d'accord pour éjaculer en même temps et y parviennent. Ils visent ma bouche que je dois garder ouverte. Les yeux fermés, je sens les rafales de sperme atterrir partout sur mon visage, mes cheveux, mes seins. Je me sens avilie, couverte de sperme. La honte devrait s'emparer de moi mais mon dégoût se transforme inexplicablement en un surplus d'excitation : me sentir et me savoir dégradée, salie, souillée, me plaît. C’est une pulsion que Rachid avait bien devinée. Il y avait eu Georges et je savais désormais qu’il y en aurait d’autres, beaucoup d’autres. Quand Georges fut parti, Rachid me fit à nouveau l’amour, avec vigueur et tendresse, me remerciant pour ma docilité et la preuve d’amour que je lui avais offerte. • Tu ne crois pas chérie qu’il est temps d’offrir à Philippe ce qu’il a tant désiré ? • Merci mon Rachid, pour lui et pour moi aussi. J’ai tant envie de lui faire le cadeau de mon plaisir. C’est à lui que je le dois avant tout. (A suivre : Philippe a enfin sa soirée candauliste) 
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