L'achat
Datte: 23/09/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
grossexe,
bizarre,
fsoumise,
humilié(e),
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
fouetfesse,
... belle.— Vous êtes belle et expérimentée. Elle fait la moue, telle une gamine qu’elle n’est plus depuis longtemps : — Vous dites ça pour me faire plaisir…— Je ne dis que la vérité.— Toujours la vérité ? Quelque chose s’éveille en moi, je n’aime pas trop le ton qu’elle vient d’employer. De par mes fonctions, je n’ai pas toujours été un parangon de vertu et d’angélisme. La conduite d’un Empire ne repose pas sur les bons sentiments et parfois, j’ai dû accomplir des choses que je n’aurais pas dû faire, donner des directives contraires à mes propres convictions. Mais c’était pour le bien suprême de notre glorieuse Nation. En attendant, je biaise, ne sachant pas vers quel chemin m’entraîne ma collaboratrice : — La vérité est changeante… Vous connaissez l’histoire des aveugles et de l’éléphant.— Je la connais, Sir Andrew… Rassurez-vous, je vous taquinais…— Hmm, espériez-vous une punition ?— Qui sait…— Est-ce la vérité, Miss Gladys ? Bien droite, ses seins mis en évidence, elle me sourit espièglement : — La vérité est changeante, je crois que vous le savez déjà. Tel un éléphant dans les mains de différents aveugles…— Belle pirouette !— J’ai un bon Maître.— J’en suis fort aise pour vous. Tout ceci m’a donné envie, alors je la fais mettre à genoux, ce qu’elle fait aussitôt. Lui faisant face, je présente devant ses lèvres mon vit bien arqué qu’elle connaît bien à présent. Celui-ci est dressé vers le ciel, raide et dur. Lentement, je l’approche de ses lèvres. Docile, elle ouvre une bouche ...
... consentante pour accueillir mon membre. Elle me suce avec passion, faisant courir sa langue sur mon gland qui palpite sous cette caresse. Je sens qu’un orgasme monte en moi, alors je me retire prestement. À peine sorti, j’expulse un premier jet de sperme gluant qui s’écrase mollement sur le visage de ma soumise. Celle-ci ouvre la bouche, cherchant à me boire. Ce n’est pas le but que je recherche, mais je ne dis rien. Je veux souiller ce fier visage, je veux qu’il dégouline de foutre, de mon foutre, qu’elle soit mon objet, ma chose, car tel est mon plaisir. Elle reste immobile sous les giclées qui s’enchaînent les unes après les autres, vigoureuses, puissantes, visqueuses. Son visage est maculé, poisseux ; de longues traînées s’écoulent le long de son cou, s’aplatissant ensuite sur sa poitrine et ses vêtements. Jusqu’à ce que je sois tari, mais victorieux, exigeant qu’elle reste souillée ainsi jusqu’au soir. Alors qu’il faisait preuve d’un indéniable activisme pour repousser encore plus loin les limites de l’Empire, ayant à nouveau des ailes, aidé par une harmonie retrouvée dans son foyer, mon fils a été victime d’un attentat qui a anéanti les locaux de son club, faisant en même temps une vingtaine de morts, parmi lesquels divers grands noms. Oliver a été décoré à titre posthume. Ce fut une belle cérémonie à la fois émouvante et guindée, avec une foule venue par curiosité et par chauvinisme admirer les glorieux morts au nom de notre Empire éternel, mais finalement si fragile. ...