L'achat
Datte: 23/09/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
grossexe,
bizarre,
fsoumise,
humilié(e),
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
fouetfesse,
... Quel gâchis ! Le jour de l’enterrement privé de mon fils, il pleut, comme il pleut en moi. Que tout ceci est stupide ! Juste au moment où ça s’arrangeait pour lui et sa femme, son couple était à nouveau uni et heureux. Décidément, Dieu là-haut, doit avoir un étrange sens de l’humour. Après ce triste jour, j’ai décidé de quitter mon pays natal et d’aller me réfugier au loin, par-delà les mers, sur une île grecque éloignée du tumulte du monde. J’ai souhaité retourner aux sources de notre civilisation, côtoyer la terre ancestrale des statues que j’admire tant depuis mon enfance. J’ai proposé à ma bru de nous accompagner, elle et ses enfants, mais elle a préféré rester. J’ai respecté son choix. Pendant tout ce temps, le soutien sans faille de Miss Gladys m’a été d’un grand secours. C’est elle qui m’a fait reprendre des couleurs, fait voir que la vie peut être finalement plus forte. De plus, je reprends goût à nos petits jeux, mais de façon plus légère. Je suis lassé de ce sadomasochisme pur et dur, j’aspire à autre chose, plus aérien, plus subtil. Et il me semble bien que ma collaboratrice et maîtresse soit du même avis que moi. Sinon, elle m’aurait quitté. Et je ne pense pas qu’elle soit restée avec moi par pure charité. Quand je suis arrivé en Grèce, j’ai décidé de ne pas cacher la situation : Miss Gladys est, au vu et au su de tous, la maîtresse de maison, et ma maîtresse tout court. Même si elle n’est pas d’accord, arguant notre différence sociale, j’envisage de l’épouser, ...
... pas pour une question de réputation, ce dont je me contrefiche, mais surtout pour lui garantir quelque chose si je venais à mourir subitement ; je ne tiens pas à ce que pareille femme retombe dans les bas-fonds. En attendant, j’ai rédigé un testament afin de ne pas la léser. Souvent, je me réveille dans le même lit qu’elle, ce qui me rajeunit, alors que je suis nettement plus près de la tombe que du berceau. Oui, je reprends goût à la vie et à nos petits jeux, de façon plus légère, loin des turpitudes de la capitale et des morales étriquées et hypocrites. D’ailleurs, certaines personnes bien placées furent très contentes de savoir que j’avais mis une très grande distance entre elles et moi. Il n’est pas rare que Miss Gladys s’habille à l’antique, comme les anciennes femmes grecques. Je dois reconnaître que ça lui va très bien, cette tenue magnifie ses formes, sans parler des jeux de lumière et de transparence. De plus, elle pousse la ressemblance à adopter le même type de chignon qu’on voit sur les cariatides et sur divers vases. J’ai ainsi à demeure une statue vivante, bien vivante. Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’avoir à nouveau sous les yeux une Grecque des temps antiques. Elle arrive vers moi, j’admire le spectacle qu’elle m’offre et je la félicite : — Vous êtes en beauté, Miss Gladys…— Vous êtes un grand flatteur, Sir Andrew.— Même pas ! J’aime quand vous êtes vêtue de la sorte, même si c’est très éloigné de la mode de la capitale. Vous êtes une adorable nymphe. Elle ne ...