1. 54.5 Il y a cours de conduite et cours de conduite.


    Datte: 23/09/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... ce corps et cette jolie petite gueule savent inspirer. Vraiment, ce mec pue le sexe à plein nez, ça transpire par tous les pores de sa peau ; c’est insoutenable, tellement il est à hurler. Et même si je sais que rien n’est possible entre nous, parce que : 1/ je suis fou amoureux de mon bobrun, d’autant plus amoureux que cette nouvelle complicité entre nous me donne des ailes et me fait rêver à bien de choses ; 2/ je cite le beau moniteur : il « ne baise que les nanas » ; la simple vision de ce mec est une déchirure, une brûlure insoutenable ; l’envie qu’il provoque est violente. Pour arranger le tout, le bogoss m’accueille avec son sourire incendiaire. Je me dis parfois que je suis trop sensible au charme masculin, trop facilement ému par la vision d’un beau garçon ; mais là, on touche dans ma tête à des sommets de sexytude où seul s’aventure mon bobrun. De plus, le beau moniteur possède un côté souriant et joueur, un aspect de sa personnalité qui fait que tous les soucis s’évaporent dans ma tête dès le premier regard. J’ai tout juste le temps de lui serrer la main que Sandrine débarque à son tour. Elle ne pouvait pas rester chez elle pour une fois ? Heureusement, comme d’hab, c’est elle que le bogoss fait conduire en premier (cool, je vais encore me retrouver seul avec lui, situation propice pour un nouveau moment « confessions sur un bobrun qui fait (plus) la gueule ; c’est un hasard ou le bogoss a voulu lui aussi s’assurer d’un moment « entre mecs » ?). Me revoilà « ...
    ... condamné » au délicieux supplice de la banquette arrière, ce poste d’observation, de « matage », d’étude de bogoss. Plusieurs informations à ce sujet, aujourd’hui. La première : depuis la dernière fois, Julien a fait quelque chose à ses cheveux : il a dû passer chez le coiffeur. Autour de la nuque, c’est plus court ; mon regard est immédiatement aimanté par cette lisière où la peau nue du cou se couvre petit à petit de cheveux fins et doux, puis taillés en dégradé ; je suis comme hypnotisé par cet « endroit », je ressens une très forte envie de poser des bisous, ça me donne presque le tournis ; je dois me faire violence pour ne pas avancer mon buste et poser mes lèvres là où elles sont si violemment attirées. Sur le haut de la tête, les cheveux sont beaucoup plus longs, et une fixation au gel plaque et maintient la crinière très fournie et presque blonde vers l’arrière ; et là, ce sont mes doigts qui ont envie de se poser dessus, de se faufiler dedans, d’ébouriffer, de défaire, de remettre en place, de caresser doucement, longuement ; soudaine, impérieuse envie de voir ce brushing définitivement défait après une bonne partie de jambes en l’air. Deuxième info : le bogoss sent terriblement bon. Deux différentes sollicitations olfactives viennent chatouiller mes narines ; la première, se dégageant justement de son brushing. Le bogoss est bien assis sur le siège passager, la nuque plaquée contre l’appui-tête ; et moi, assis juste derrière lui, je ne me prive pas d’avancer mon buste ...
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