1. Histoire très courte (1)


    Datte: 24/09/2018, Catégories: Divers,

    Histoire courte, quoi que... Beaucoup on lut cette histoire à plus de 70% vraie : Notre institutrice, la suite, le dernier chapitre sera publié sous peu ou déjà mis en ligne. Cela étant, j’étais depuis mes dix ans, à l’école dans une institution religieuse celle dirigée par le Vatican, c’est dire. Les coups de règle et autres sévices corporels étaient monnaies courantes pendant la classe. J’en ai eu ma part de coups de règles sur mon cul ou mon dos à en être dégoûté, enfin, pas totalement. En classe, on pouvait entendre les mouches voler. Cela étant, pour beaucoup de ma classe et bien d’autre, je suppose, cela a ouvert nos yeux sur quelque chose dont on ne parlait pas, ou sous le couvert de discussion intime, secrète et encore. Je me souviens d’un de mes camarades de classe, le jour de son mariage, j’étais son témoin. Avant de pénétrer dans l’église, il m’avait confié être devenu bi et l’esclave de sa future épouse et il n’était pas le seul de mon âge, loin sans faut. Confidence pour confidence, j’étais devenu un pervers, bi, parfois particulièrement sadique, mais toujours avec le but de faire prendre son pied à mon ou ma soumise. Je suis bi mais...quand cela m’arrange. Du reste, c’est ami, avec la permission de sa Maîtresse en fit l’expérience, ce fut très amusant, du reste. Bon, restons sérieux. Il ne faut pas oublier que nous étions tous pré-pubère, des ados en devenir, filles ou garçons. Je pourrais en raconter des histoires de cette époque aussi douloureuse que bénie ...
    ... de plaisirs inavouables. Mais voilà, si je dois le faire, je ne vais pas pouvoir donner nos âges que nous avions. Aujourd’hui, c’est encore plus mal vu que ce ne l’était à l’époque, les années soixante, septante. C’est pourquoi, je modifie, je triche. C’est con à dire, mais cela me gâche mon plaisir, celui de mes contemporains, de mes camarades de classes, filles et garçons. Oh, on n’est pas tous devenu des pervers, mais cela étant, avec mon copain, ma petite amie et d’autres, cela nous a ouvert les yeux sur le sexe et, mais surtout sur ses jouissantes déviances orgasmique. J’aurais aimé retracer notre vie scolaire et extra-scolaire de l’époque, nos moments coquins, vicieux ou pervers. Là encore, je me bute à un mur, celui de la censure, celui de cette morale des années 2000, cette morale devenue encore plus obstinée, encore moins ouverte des biens pensants. Faut dire qu’on peut tout faire, tout dire sauf qu’il ne faut jamais dire qu’on a aimé un corps avant l’âge légale ça fait tâche dans le paysage. Donc, un livre est exclu, censuré d’office. Alors, je me retrouve à écrire des histoires en trichant sur les âges, les lieux et autres détails. Ceux de mon âge, qui étaient en classe avec moi, ou dans la classe parallèle, ils ont tous lu ce que vous lisez sur ce site et ce que j’ai encore dans mon ordinateur. Je peux dire que ces lectures ont réveillé des souvenirs, des envies, des fantasmes, mais pas que ! Ils nous en restent tellement à assouvir. En faire une histoire qui ...
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