1. Histoire très courte (1)


    Datte: 24/09/2018, Catégories: Divers,

    ... roues arrière. Elle prit le volant et en avant la musique. En roulant, je lui montrais la prochaine maison. Mais en me penchant pour lui donner la direction, c’est ses jolis seins que je voyais. Elle ne portait pas de soutien. On en était à la moitié, l’heure de ma courte pause. On s’arrêta sur le bord de ce chemin de terre pour s’asseoir sur l’herbe. Elle était allongée, en appui sur ses coudes, je contrôlais la suite de ma tournée quand je me tournais dans sa direction. Elle avait les jambes légèrement écartées, entre ses cuisses, je voyais quelques poils de sa chatte dépasser de son short. On s’est longuement regarder, elle s’est levée, on s’est embrassé et on a baisé. Ce ne fut pas long, le temps que chacun prenne son pied. Cela étant, je ne repris plus ma place sur le côté, mais derrière ma conductrice, mes mains sur ses seins bien ferme et si joliment rond. Maison après ferme, on arriva à mon point de départ avec une petite heure de retard. Ce soir-là, après mon boulot, je restais dans le village. Du reste, je n’en suis redescendu qu’au dernier jour de mon remplacement. Je ne suis redescendu qu’une fois, le lendemain, pour prendre de quoi me changé. Ce soir-là, elle me rejoint dans un restaurant où je mangeais. Droit après le dessert, on disparaissait dans un recoin qu’elle connaissait et on baisa comme des malades. Plus on baisait, plus on avait envie de plus, elle comme moi. Et là, j’ai eu cette vision d’une fille de ma classe cruellement fessée par cette religieuse ...
    ... d’une autre temps, cul nu, devant la classe, à coup de règle pour avoir mangé un bonbon durant le cours. J’ai couché cette jeune femme sur le ventre avant de claquer ses superbes fesses. Doucement au début, la force augmentait en même temps que mes caresses devenaient plus insidieuses, vulgaires, sales même. La belle semblait littéralement enivrée, saoulée par ce qu’elle ressentait et ce fut mon premier gros feu d’artifice que je vis, elle explosa sans comme une mesure, je venais de trouver ma voie, une révélation, ma révélation. On se revit durant tout mon séjour, dormant dans sa chambre en pénétrant par sa fenêtre et partant par le même chemin chaque matin. À chaque fois qu’on avait un moment, et ils ne manquaient pas, on baisait, je la fessais, je l’attachais aussi et elle aimait se sentir démunie quand je l’aimais ou la baisais. On avait rien pour fouetter, pas de cravache, pas de martinet, rien pour l’attacher que de vieilles cordes ou de la ficelle. Pourtant, cela nous suffisait pour qu’elle jouisse, qu’elle en veuille davantage. Pour ça, elle me conforta dans mes envies de perversité. Au fil des jours, elle en vint à délaisser son travail dans sa ferme pour m’accompagner. Si on savait rester discret, jamais ensemble que pour boire un verre. Dans nos coins, soigneusement à l’abri des regards ou d’une vilaine rencontre, on prenait notre pied et quel pied. Plus cela avançait dans le temps, plus elle se montrait désireuse d’aller plus loin encore. Un soir, dans un chalet ...
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