1. Histoire très courte (1)


    Datte: 24/09/2018, Catégories: Divers,

    ... retrouva dans une petite grange. Elle m’y avait fixé rendez-vous. Elle m’attendait dans une courte robe d’été boutonnée sur le devant. Autant dire que les boutons se sont vite retrouvé aux quatre coins de la dite grange. Elle ne portait rien en dessous, fidèle à ses habitudes. Je l’ai retournée, penchée, lubrifié son cul avec sa cyprine et me suis enfoncé dans son cul presque brutalement. La belle poussa un cri avant de me dire de le lui déchirer. Ce fut plus sauvage et brutal que les fois précédentes. Non seulement je l’enculais, mais je la fessais avec ma ceinture de facteur. Pliée en deux, elle fait très mal. Plus je la sodomisais fort, plus je la fessais durement, plus elle en voulait. Pour moi, pendant un court instant, très court l’instant, je ne compris pas que l’on pouvait aimer se faire battre ainsi. Mais le plaisir, c’est ce que nous voulions, recherchions, lui, il était là, pur elle comme pour moi. Aussi, que je me suis amusé à fouetter ses seins, elle s’agrippa à ma nuque, me laissant ses seins sans aucun obstacle. Cette nuit, je la revis comme si j’en sortais à chaque fois que j’y pense. Elle jouit avec une telle puissance que s’en fut un moment à jamais gravé dans ma vie. Sa bouche se fit encore plus soumise quand elle se dégagea de ma queue pour venir la prendre avec ses lèvres, sa langue. Une nymphomane, peut-être ? Pour moi, c’était une femme, une vraie qui aimait vivre ce qu’elle désirait vivre. Je me fis encore plus pervers, fustigeant son dos de ma ...
    ... ceinture, sans trop forcer, je ne voulais pas être un bourreau, un tortionnaire. Mais cela l’aidait à me sucer avec encore plus de dévotion. On resta ensemble, on baisa plus calmement une bonne partie de la nuit, sans un mot, sans un je t’aime. Ce mot ne fut jamais dit autrement que pour dire si nous avions aimé une position, une manière de fesser. Entre nous, il n’y avait qu’un amour, le sexe et c’est tout. Cette dernière semaine, on la passa ensemble. Autant dire que ses parents ne la virent guère que quand on passait avec son tracteur devant la ferme. Maintenant, juste après avoir disparu de la ferme, elle était nue. Devant la prochaine maison, je la recouvrais d’un sac de jute, ça gratte méchant. Et puis, il y avait ma pause. Je voulus la pousser plus loin, repousser ses limites déjà bien repoussées. C’est une clôture qui me donnait cette putain d’idée sadique. On était près d’un de ces petits transformateur qui envoie le courant dans les fils de la dite clôture. Je pris les deux câbles que je présentais devant les seins de ma divine. Elle croisa ses mains dans son dos, la suite ne fut un cri de douleur et un encore. Oui, elle avait dit encore. Je lui donnais encore une ou deux secousses, elle urina de douleur, déféqua aussi, là, debout devant moi, ses yeux fermés, la bouche grande ouverte. Je posais ma main sur son sexe, il était chaud, trempe d’e son mélange d’urine et de cyprine. Elle hurla encore, mais de bonheur. Je l’enculais, son cul encore sale. Cette jeune femme ne ...
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