1. Convalescence


    Datte: 24/09/2018, Catégories: fh, extracon, vacances, intermast, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... sexe. Je bande comme un cerf. J’ai pourtant fait l’amour avec Claire la veille au soir. Mais c’est un autre corps, une autre odeur, un autre goût, d’autres mots, plus violents : — J’ai envie de toi, prends-moi ! Je la retourne. Elle n’a pas menti. Je pose ma main sur son sexe, glisse un doigt dans sa fente. Elle est trempée et ouvre les jambes pendant qu’un gémissement s’écoule de sa bouche grande ouverte. Je la pénètre doucement pour sentir mon sexe écarter ses chairs et glisser jusqu’au fond de son vagin, en butée. Elle pousse un petit cri aigu, ses jambes se referment sur mes reins, ses bras serrent mon corps, elle m’immobilise en elle un instant, en me regardant, comme pour mesurer l’importance de ce moment. Puis s’abandonne, rejette la tête en arrière et relâche son étreinte. Je la prends lentement, mais puissamment, régulièrement en regardant son visage qui bat d’un côté à l’autre de l’oreiller, les yeux clos. Son vagin est chaud, doux, profond, j’ai envie de m’enfoncer jusqu’à m’y perdre. Elle gémit, accompagne mes mouvements en avançant son bassin vers mon sexe. Ses mains se crispent sur mes épaules, elle me regarde à nouveau, son corps se tend : je sens qu’elle va jouir. J’accélère le rythme pour lui faire franchir l’ultime cap et l’accompagner dans le plaisir. Elle jouit la première en mettant la tête dans le creux de mon épaule, une houle remonte le long de son corps, plusieurs fois, la dernière m’emporte, je ne cherche pas à me retenir et explose en elle. ...
    ... Céline me garde un moment en elle. Puis me retourne et reste sur le dos à mes côtés, tranquillement impudique, yeux fermés, jambes ouvertes. Je regarde son corps. Sa toison est très brune, épaisse, touffue. Ses seins se soulèvent au rythme de sa respiration. Je suis de mes doigts les contours de son corps. Il est moins ferme que je ne l’avais cru en la voyant en maillot sur la plage. J’aime cet outrage du temps, qui la rend émouvante, humaine. J’éprouve un sentiment de fierté masculine : en cet instant, elle est à moi, elle que je croyais inaccessible, forte, sans faiblesse. Elle ouvre les yeux. Elle a un gentil sourire de jeune fille après l’amour. Je veux lui parler. Je lui demande pourquoi, pourquoi moi, pourquoi ce soir, pourquoi si vite. Elle pose un doigt sur mes lèvres : — Pas maintenant. Demain, je te dirai. Mais pas maintenant, s’il te plaît. Elle vient sur moi, m’embrasse, glisse le long de mon corps en le couvrant de baisers, et pose sa tête sur ma cuisse, lèvres contre mon sexe. Elle le regarde, le respire, le touche, essuie avec sa langue le sperme qui s’écoule de mon gland. Ce n’est pas sexuel, plutôt tendre. À ma grande surprise, je recommence déjà à bander. Mais elle se lève, me dit qu’elle revient, et file dans la salle de bains. J’entends des bruits d’eau. Seul sur le lit, je regarde cette chambre que Claire a quittée le matin même et qui porte sa marque. Bizarrement, je n’éprouve pas de sentiment de culpabilité. Je me sens bien, apaisé par le plaisir. Céline ...
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