1. Convalescence


    Datte: 24/09/2018, Catégories: fh, extracon, vacances, intermast, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... comportement si subit de sa part ? Je ne trouve la paix qu’en me décidant à lui poser des questions, dès qu’elle aura franchi la porte. Il faudra bien qu’elle réponde, qu’elle m’explique. Alors, je l’attends, puisque je n’ai rien trouvé de mieux à faire. ----- L’attente n’est pas longue. 35 minutes exactement, j’ai regardé ma montre au moment où j’ai entendu des coups frappés à la porte. Et trois cigarettes. Céline ne s’est pas changée, toujours en jeans, avec un pull et ses ballerines. Je n’ai pas le temps de lui poser les questions que j’avais prévues. C’est elle qui parle, très vite, elle n’est plus aussi à l’aise que tout à l’heure, peut-être parce qu’elle n’est plus chez elle, mais chez moi, chez Claire, en terrain adverse : — Les enfants étaient claqués. Ils se sont vite endormis. Je ne crois pas qu’ils se réveilleront. Sinon, ma sœur s’occupera d’eux. Je lui ai tout dit. Nous n’avons que quelques heures. Et il n’y aura qu’une fois. Nous parlerons après, si tu veux. Elle n’attend pas ma réponse, elle m’embrasse, ses lèvres sont chaudes, ouvertes, sa langue se glisse dans ma bouche. Je suis tellement surpris qu’elle me déséquilibre. Elle est pourtant plus petite que moi, mais je recule jusqu’à trouver appui avec mon dos contre la cloison de l’entrée. Ses lèvres n’ont pas quitté les miennes, son corps se plaque contre moi, ses mains tiennent mon visage, je sens ses seins, son ventre, ses hanches. Jamais une femme ne m’a embrassé la première, et surtout pas ainsi. C’est ...
    ... idiot, mais je ne sais pas quoi faire. Toutes mes résolutions s’envolent. Elle le sent, me prend la main et m’attire dans ma chambre, les lieux lui sont familiers, elle est souvent venue chez nous avec Pierre. Le lit n’est pas fait depuis que Claire l’a quitté le matin. Ça me gêne. Pas Céline. Elle me pousse dessus, continue de m’embrasser en me chevauchant, se redresse pour faire passer son pull par-dessus sa tête et dégrafer son soutien-gorge. Ses seins sont lourds, frappés de larges aréoles brunes. Je les connais, pour l’avoir souvent vue poitrine nue l’été sur la plage. Mais jamais je ne les avais trouvés si beaux, si pleins, si émouvants, sans doute parce qu’ils pointent vers moi. J’y porte les mains. Je les presse plutôt que je ne les caresse. Ce geste brutal lui arrache un soupir, ses yeux brillent. Elle se penche à nouveau vers moi pour m’embrasser pendant que je sens ses mains passer sur mon ventre, détacher ma ceinture, puis s’attaquer à son propre jeans. Elle se tortille, fait glisser son pantalon en même temps que son slip, j’entends le bruit feutré de ses ballerines qui tombent sur la moquette. Elle est nue, et défait maintenant les boutons de ma chemise en embrassant mon torse, en me mordant le bout des seins. Je ne veux plus rester passif. Et il est trop tard pour les explications. Elle soulève son bassin pour que je puisse enlever mon pantalon et tout le reste, puis le repose et commence à onduler sur moi. Ma bite, comme autonome, répond aux mouvements de son ...
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