1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°711)


    Datte: 24/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°709) - Le chemin de transparence et de vérité - A quatre pattes maintenant, tête basse, tenu en laisse fermement, le Maître me fait déambuler lentement, très docilement, juste devant les Dominantes et Dominants toujours assis sur leur banc. Parfois je suis ralenti sinon stoppé pour laisser des mains me caresser l’échine ou plus intimement. Quelquefois, je passe devant Celles et Ceux ici Régnants, en essuyant seulement leur regard hautain. Parfois encore, je me contente de poser mes lèvres, servilement sur des chaussures entravant cette bien perverse promenade, puis je suis de nouveau entraîné par cette laisse tendue et avance encore. Cette fois-ci, c’est un doigt qui me fouille le cul, qui me pénètre généreusement et vigoureusement ! Je me laisse posséder en relevant et cabrant mon fessier. - Ah ce cul, je puis vous assurer Mesdames et Messieurs, qu’il est savoureux ! Je reconnais cette voix masculine, les « R » sont roulés… J’ai envie de relever la tête pour voir de qui s’agit-il mais le Maître ne m’en donne pas le loisir, la laisse se tend encore, je marche et me plie aux exigences rencontrées sur ce chemin de transparence et de vérité. Oui ! Je ne suis qu’une salope, une vraie chienne, ai-je envie de le crier sinon de hurler ! Inutile de chercher derrière le voile, voilà la vérité ! Point de sous-entendu, ni de secret gardé, point de choses dissimulées, je m’affiche et me laisse tripoter sans ...
    ... écœurement ni dégoût, au contraire même, j’en tire un désir fou. Au diable le vieil adage de la sagesse populaire « Pour vivre heureux, vivons cachés » Épicure semble s’être bien trompé en ce qui me concerne, j’ai envie de crier « Pour vivre heureux, vivons exhibés » ! Me voilà rattaché à mon pilier et regarde défiler les quarante-neuf autres chiennes et chiens. Tous semblent exprimés le même désir, la même volonté d’appartenir, quelle que soit leur couleur de peau, leur origine continentale. Ils paradent d’un pas chaloupé, se laissent tripoter et humilier en gardant toujours un port altier, exprimant leur fierté. Dieu que la compétition sera rude ! Me dis-je, tous semblent tellement expérimentés ! Que dire aussi de la satisfaction et de la supériorité des Maîtresses et Maîtres, les entraînants, les exhibant, ils semblent tellement satisfaits de présenter celles et ceux qu’ils possèdent… Entretien à huit clos : Une heure après la présentation-exhibition des esclaves devant l’assemblée des Dominants venus du monde entier, des entretiens bilatéraux à huis clos sont organisées. Et c’est lors d’une de ces rencontres que je ne peux m’empêcher de penser comme elle est belle cette femme, la trentaine, rayonnante, digne, mince, racée, élancée, brune de peau, les cheveux longs noirs soigneusement nattés, les yeux de braise. Son sari vert émeraude élégamment drapé laissant son nombril nu, met en évidence un superbe collier de diamants, de belles pierres précieuses finement ciselées et ...
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