1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°711)


    Datte: 24/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... artifice, Elle affiche sa sublime Suprématie. Une de ses mains vient de se poser sur sa brune toison, ses doigts au contact avec son sexe. Elle se caresse ! - Je vais te faire goûter mes sucs épicés, petite salope… mais pour cela, il va falloir les mériter ! Elle m’attrape par ma chevelure et m’entraîne à quatre pattes près d’un mur. Elle m’ordonne de faire le poirier en appuyant mon dos contre la cloison. Pas simple tout ça… Il me faut un certain temps pour y parvenir. Elle me regarde, patiente tranquillement, sans me presser ni me stresser et lorsque je parviens enfin à tenir en équilibre, la tête en bas Elle s’agenouille face à moi en écartant les cuisses. Elle ajuste sa position afin que son sexe déjà humide vienne se plaquer contre ma bouche. - Allez petit chien, montre-moi comme une langue occidentale peut être agile. Tant bien que mal, compte tenu de la posture, sans me précipiter, je décide de poser ma bouche sur ce sexe délicat, légèrement écarté et le couvre de simples petits baisers. Puis au bout de deux minutes seulement ma langue glisse entre ces lèvres, à la recherche de ce fruit défendu. Maîtresse Parashurâma est alors prise de délicieux tremblements dont j’entends la répercussion dans son souffle haletant. Au même moment, je m’enivre de l’odeur de sa peau et de son parfum se mêlant à la senteur musquée de son sexe. Sous l’impact de ma langue, son clitoris vient de se tendre, de se redresser et de s’offrir. Je le titille délicatement, j’entends gémir ! Les ...
    ... premiers sucs me parviennent et m’inondent la bouche ! Dans un incessant déhanché, lent, très lent au départ puis s’accélérant ensuite, je ne parviens plus à canaliser ma langue, elle aussi devient soumise à ces mouvements à ces amplitudes et cadences imposées. Je m’étouffe et m’étrangle, cette chatte se dilate et mouille de plus belle. Mais la Domina exige encore, s’agite toujours, jusqu’au moment où une violente douleur me terrasse. Mes couilles à portée de bouche viennent d’être happées et mordues violemment. Sous l’impact de ces dents, je reste figé et ouvre la bouche en grand. Mais j’ai rarement eu une telle érection, suite à cette forte douleur m’ayant coupé le souffle quelques instants ! Mon excitation est à l’extrême et il me faut faire mille efforts pour ne pas éjaculer même sans me branler. Juste à ce moment-là, un flot de cyprine gicle, telle une éjaculation, et coule dans mon orifice et m’inonde le visage… L’étau sur mes couilles se desserre, Maîtresse Parashurâma se retire, me retient pour que je ne tombe pas, puis me fait installer couché à plat dos sur le sol. Le visage défait, couvert de mouille, j’entrouvre les yeux et m’aperçois que Monsieur le Marquis s’adonne lui aussi au plaisir de la chair. La jeune soumise Nara se donne dans l’étreinte dite du « panda ». Elle et le Maître sont allongés tête bêche. Elle enlace Monsieur le Marquis, une jambe au-dessus, l’autre au-dessous, et ondule en rapprochant son bassin pour une profonde pénétration. Le Maître la caresse ...