La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°711)
Datte: 24/09/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... posées sur sa petite mais ferme poitrine. Elle arbore également ce symbole traditionnel, le « sindoor », un simple trait rouge partant de la racine de ces cheveux et descendant jusqu’au début de son front. Elle est simplement et naturellement magnifique ! Monsieur le Marquis d’Evans semble lui aussi subjugué par cette beauté, il discute avec elle avec élégance et éloquence et évoque des souvenirs lointains mais communs à eux deux, lors d’un de ses périples et voyage en Inde. Visiblement le Maître a retrouvé une vieille connaissance qu’il apprécie grandement. Elle aussi s’exprime en français remarquablement, avec un vocabulaire choisi, des termes précis, d’une voix claire et limpide. Tous les deux sont installés dans un petit boudoir avec à leurs pieds, leurs deux esclaves. Maîtresse Parashurâma, c’est ainsi qu’elle se nomme, dispose de Nara, une jeune chienne, une petite femelle docile et annelée aux tétons et lèvres intimes. Couché aux Pieds du Maître, en position fœtale, j’entends leurs échanges courtois et respectueux sans vraiment écouter ce qu’ils se disent. Je reste simplement attentif, seulement vigilant. La jeune soumise Nara, elle aussi allongée sur le côté, ferme parfois les yeux. Sa respiration soulève sa frêle et tendre poitrine. Elle semble sereine, tranquille, paisible. Ses courbes sont parfaites, ses hanches fines, son fessier rebondi, son sexe glabre. Si j’avais à lui donner un âge, je dirai vingt vingt-cinq ans maximum. Mais la question n’est pas là pour ...
... l’heure. Le Maître vient de me donner un ordre, j’y réponds dans l’instant. - Sur le dos, chien ! Ecarte tes jambes et montre à Maîtresse Parashurâma ce que tu as entre les cuisses. Pour changer… mon sexe est raide et tendu, je l’affiche et l’exhibe sans complexe. La Dominante alors se penche, se saisit de mes couilles les attrape et les tire sans ménagement comme si elle voulait les amener au plus près d’elle, sous ses yeux ! L’assaut est tel, qu’il m’est impossible de retenir un gémissement, je bascule en arrière, jambes relevées, et me retrouve en deux temps, trois mouvements, cul par-dessus tête. - Ces mâles vaniteux et présomptueux se croient toujours obligés de nous montrer leur nouille érigée ! annonce Maîtresse Parashurâma à l’attention de Monsieur le Marquis Le Maître sourit. Il prend un plaisir immense à me voir malmené et tenu renversé, par cette belle Domina Indienne. Celle-ci maintenant s’adresse directement à moi. - Je sais que tu es un mâle et que tu as une queue, ce n’est pas cette partie de ton anatomie qui m’intéresse chien mâle, mais seulement ton cul de lope soumise. Ton trou de putain, n’est-il pas placé entre tes cuisses ? N’est-ce pas ce qu’a exigé le Maître, de me montrer ce que tu avais entre les jambes ? réponds salope ! Le ton est ferme, sévère, mais sans agressivité, la Domina me presse toujours autant les burnes et cette pression douloureuse me coupe littéralement le souffle. - Oh… aïe… Oui, oui Madame ! Maîtresse Parashurâma ne s’inquiète ni de ma ...