1. Vacances de Julie (1)


    Datte: 27/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... d’hésitation, m’apercevant d’avoir déjà trop parlé, je me résous à lui avouer une version expurgée en lui expliquant que j’avais rêvé que je faisais des « choses » avec mes parents. Elle redouble de tendresse en me câlinant et s’enquérant si c’était la raison de ma honte. A mon petit oui, elle répond par une caresse et un gentil sourire, me prend la main et m’entraine : — On va d’abords déjeuner, nous aurons toute la matinée autour de la piscine pour bavarder… C’est à ce moment que mon père arrive, il est déjà en tenue de sport, enfin short et casquette. Il a fait sa promenade matinale dans les environs, il désirait explorer le quartier où nous sommes installés. Il vient s’assoir près de nous pour nous faire un résumé de ses découvertes et se resservir un bol de café. Il nous explique que nos propriétaires pouvaient dire que nous ne risquions pas de gêner les voisins car nous n’en n’avons pas, la propriété est isolée dans la nature… Puis il remarque notre nudité : — Vous avez la bonne tenue pour vivre ici, je vais vous imiter ! Alors que nous les femmes nous continuons à paresser devant notre bol vide, papa se lève et se dirige vers la chambre pour se changer, il nous revient dans la même tenue que nous. Maman remarque mon regard fixé sur son sexe déployé à l’horizontal, elle commente à l’intention de son mari : — Tes deux femmes te mettent en forme ce matin ! Il ne relève pas, mais cette remarque refait surgir mon malaise. J’ai l’impression d’être la « grosse salope » que ...
    ... le copain désignait ! Et puis cette expression « deux femmes » me trouble, j’ai l’impression qu’elle gomme la barrière familiale. C’est là que ma mère intervient en signalant la force du soleil et qu’il faudra démarrer la journée par une bonne séance de badigeonnage général ! Tandis que papa s’occupe maintenant du fonctionnement du barbecue, maman m’entraine vers la piscine, elle s’est munie d’un gros tube de crème solaire et de deux grandes serviettes. Nous installons les transats et nous entreprenons toutes les deux le crémage de nos corps. Toutes les deux debout, nous nous badigeonnons réciproquement. Ce qui me fait tout drôle : sentir ses mains parcourir ma peau avec en échange le toucher des différentes parties de son corps, plus ou moins intimes, plus ou moins sensibles. Elle le fait sans gêne, avec bienveillance, souvent collée contre moi ; cela pend souvent l’allure d’un grand câlin. L’opération nous conduit dans les bras l’une de l’autre pour faire nos dos, nous nous faisons face, son visage rayonne de plaisir, elle en profite pour m’enlacer et me faire un gros et tendre bisou sur la bouche. Nous nous caressons ainsi mutuellement, gluantes de crème, les seins, les fesses… Ce contact rapproché commence à me troubler, particulièrement lorsque nous abordons nos pubis où ma mère s’attarde. Nous enduisons consciencieusement tous les reliefs de nos sexes. Dans le trouble je lui rends la pareille. C’est comme si nous essayons de nous faire jouir mutuellement. La chaleur et ...
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