Vacances de Julie (1)
Datte: 27/09/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... l’humidité de nos muqueuses m’excite. Dans le mouvement, un de mes doigts glisse dans le vagin maternel, elle s’immobilise, la bouche entre-ouverte, un regard plein de passion, puis dans la seconde qui suit, elle enchaine en m’enserrant dans ses bras et me faisant un baiser sur la bouche. Je sens sa langue qui écarte mes lèvres puis s’enroule sur la mienne dans un grand baiser d’amour… 5- Je suis toute retournée de l’inattendu de la situation, j’ai le corps qui s’électrise, j’ai une envie irrépressible de me frotter fort contre elle, sentir l’empreinte de son corps marquer mon corps. La crème solaire me permet de glisser peau contre peau avec une sensation irréelle. C’est une manière bien particulière d’étendre et répartir notre couche de protection. Cet épisode me trouble d’autant plus que j’y trouve un réel plaisir et que je ne croyais pas avoir avec une femme. Je n’avais aucune expérience saphique et jusque là, je n’avais pas été particulièrement attirée par les femmes. Et en plus cette femme, c’est ma mère. C’est peut-être pour cela que je me suis laissé faire si facilement, car avec une copine, j’aurais certainement réagi plus négativement ! Maintenant, ayant relâché notre étreinte, je regarde maman qui me sourit. J’ai l’impression que cet épisode a rechargé nos batteries. Je ne suis capable d’aucune parole, juste je lui caresse le râble et remarque la beauté des ses formes, illuminées de cette lumière du matin. Dans une douce euphorie, je m’allonge sur la serviette ...
... disposée sur mon transat, j’apprécie les rayons qui me chauffent et me tirent un soupir de bien-être. Maman assise sur sa chaise longue m’observe souriante, elle me questionne : — Est-ce que ce début de vacances te convient ? Je ne peux que répondre par l’affirmative, sans trop approfondir d’ailleurs quel est l’aspect concerné. Et c’est le démarrage de notre bavardage sur la beauté du lieu, le beau temps…, des banalités. Papa passe nous voir, il s’est rhabillé, cette fois en tenue de sortie : — Vous êtes mignonnes comme cela, bonne bronzette, pendant ce temps je pars faire le plein d’épicerie… Puis nous l’entendons démarrer la voiture et partir. Alors que la matinée avance, maman se lève et je la vois revenir avec deux grands verres d’eau. Je l’observe, la grâce de sa démarche me subjugue. Alors qu’elle me tend un verre, peut-être en guise de remerciement, je me sens obligée de la complimenter sur sa beauté. Elle me sourit et me répond : — Toi aussi tu es jolie, on se ressemble beaucoup toutes les deux… Ca me fait curieux, je ne me souviens pas que ma mère m’aie déjà dit ainsi que j’étais jolie. Moi, je me trouve plutôt ordinaire, je n’ai pas de gros seins, de grosses fesses, rien qui attire les garçons du genre « T’as vu cette meuf ! ». J’ai l’impression de passer inaperçue et pourtant lorsque je vois le corps nu de ma mère, lorsqu’elle bouge, se déplace, je lui trouve du charme, je la trouve de proportions harmonieuses, vraiment mignonnes, ni trop grosses ni trop maigres… Je ...