Allemande
Datte: 27/09/2018,
Catégories:
fh,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... par cet orifice ! Sans forcer, toute ma verge s’immisça en elle, je commençais à la pistonner à nouveau, tandis qu’elle, appuyée sur les deux bras, puis sur un seul coude, se mit à mes caresser les burnes et à se branler le clitoris. J’ai dit plus haut qu’elle avait un fessier de teutonne, et c’est vrai qu’elle avait les hanches larges. Je me régalais de ce spectacle de ma queue coulissant avec une facilité dans son anus dont le sphincter ressortait en même temps que je reculais, et surtout les ondes provoquées par mon ventre qui venait s’écraser contre ce cul, et qui se propageaient jusqu’à ses cuisses tout aussi imposantes. Ceci dura un bon moment, entrecoupé de ses gémissement qu’elle avait du mal à réfréner, et je sentais que j’allais, pour la seconde fois, exploser en elle. Je me penchais, et lui demandais, par décence, si elle acceptait que j’éjacule dans son cul. Cela lui était égal, et à peine eus-je eu une réponse positive, que ma seconde livraison partait dans son rectum. Elle s’affala sur le ventre. Je me laissais également tomber sur elle, vidé, repus, transpirant à grosse gouttes. Je laissais ma queue revenir au repos, mais son sphincter, qu’elle utilisait à merveille, se refermant, je restai en elle de longues minutes, me contentant de l’embrasser dans le cou, et de lui mordiller les oreilles. Je n’ai aucune idée du temps où je suis ainsi resté « prisonnier » de son cul, mais c’est moi qui décidai de me retirer, et j’entends encore le « plop » de ma queue ...
... quittant ce lieu de plaisir. J’allai immédiatement prendre une douche, et de retour dans la chambre, je la trouvai endormie ; elle s’était glissée dans les draps, sans même aller se laver. Je ne trouvai pas d’autre solution qu de m’allonger à ses côtés, il était une heure du matin passée ! Mes rendez-vous du lendemain, ou plutôt de la matinée à venir me semblaient compromis ! C’est le bruit de la chasse d’eau qui me réveilla, il était six heures un quart ! Greta était dans la salle de bains, j’entendais couler l’eau du lavabo. Je me levai pour aller la rejoindre : — Tu es réveillé mein Liebling ? Je l’enlaçai, et pour toute réponse, je posai mes lèvres sur les siennes qu’elle me tendait. C’était reparti ! Mes mains s’égayèrent sur sa poitrine dont les tétons se dressaient comme des obélisques, alors qu’elle était occupée à se laver entre les cuisses. Je lui pris le gant, et sans se parler, je continuais sa toilette. Elle posa un pied sur le rebord de la cuvette, m’offrant une vue imprenable sur sa chatte ; elle était de taille respectable, ses petites lèvres flasques et roses se baladant au gré de mes caresses devant l’ouverture du vagin luisant de mouille dès le matin. Inutile de dire l’effet sur ma propre sexualité ! Je tentais une introduction dans cette position, et j’y parvins, mais Greta était grande, et bien quelle se baissa un peu, nous comprîmes rapidement que l’envie mutuelle que nous avions ne pourrait se faire en ce lieu. Elle se cambra pour laisser sortir ma queue déjà ...