1. Le cas de l'oncle Tom


    Datte: 27/09/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, grossexe, piscine, fsoumise, hdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation facial, Oral fdanus, fsodo, init, humour,

    ... gars de la piscine, il l’a vue en rêve ? Arrête tes simagrées et descends ta culotte ; sois une sage petite fille : tu vas obéir au monsieur. De toute façon, comme devant votre piscine, tu veux le montrer à un homme, ton trésor ; tu en crèves d’envie. Elle n’y trouva rien à redire. Surtout que cet attentat manifeste aux bonnes mœurs l’excitait (si ses parents la voyaient !) et qu’elle avait hâte de mesurer le pouvoir de la vision de son sexe dénudé (et affamé) sur ce tonton d’enfer. Elle fit glisser le vêtement superflu et cueillit le regard de Tom soudé sur son intimité. Il marqua le coup. Il reprit d’une voix grave : — Enlève-la entièrement ; tu n’en auras plus besoin. Là, oui, comme ça t’es belle. Ne bouge pas ! Il la plaqua contre lui et la souleva comme un fœtus de paille(Fœtus ? Euh… je me suis trompé ?) Elle sentit contre ses lèvres intimes la poussée d’une érection agressive qui l’embrasa. Il l’assit sur la table puis la repoussa d’une main pour la coucher sur le dos. Docile, elle se laissa faire. Il lui écarta les cuisses, admiratif. — Putain, du con frais de jeunette ! T’as une toison de femme, j’aime ça. Ouvre mieux tes cuisses. Oui, ouvre encore ! Ta fleur est aussi jolie que celle de Lucile : bien fendue, bien charnue, bien bombée. Tu as un vrai petit con pour sourd-muet : ma bite peut déjà lire sur tes lèvres. Elle bande à mort, elle se réjouit. Dis-voir, il t’arrive de te masturber ?— … oui.— Tu as déjà été branlée par un homme ?— Branlée ? Euh… jamais, mais ...
    ... léchée, oui, avoua-t-elle d’une voix presque inaudible.— Eh bien, ouvre tes cuisses, oui, comme ça, tu verras comment c’est bon. Elle tressaillit lorsque des doigts avides prirent possession de sa vulve et s’activèrent sur son clitoris. Elle chercha l’air à grandes aspirations puis se crispa, yeux fermés. Tom accéléra encore ses titillements. — Tu mouilles de plus en plus, tu es trempée ; ce n’est plus une bite qu’il te faudrait, c’est l’arche de Noé. Vas-y, laisse-toi aller. Tu sens comme c’est bon ? Tu viens, oui, n’est-ce pas que tu viens ? Donne mieux la chatte, donne… pousse en avant. Il doubla son action en forçant son œillet avec un doigt. — Jouis ! Un cri perçant lui répondit. La digue s’était rompue d’un coup, libérant des torrents de jouissance. Manon, ravagée, sanglotait de plaisir. Elle mit du temps à retrouver son calme, le corps encore parcouru de tremblements. Tout allait trop vite pour elle. Calé entre les cuisses ouvertes, Tom la releva contre lui. — Attends, tu vas aussi me montrer tes seins. Laisse-moi faire. Le tee-shirt et le soutien-gorge rejoignirent au sol les autres vêtements. Les mains et les lèvres de Tom s’emparèrent des seins bien fermes et des tétons ultrasensibles de la jeune fille vite débordée par les caresses. Elle eut peur de perdre à nouveau tout contrôle face à ces sulfureux attouchements. Et ce membre dur, si dur, qui poussait contre sa chatte nue n’arrangeait pas les choses. Son esprit s’égarait, pire : anticipait… cette bite. Une bite ! ...
«12...789...12»