1. Un parfum de victoire sur la Grande Boucle...


    Datte: 28/09/2018, Catégories: ffh, inconnu, vacances, sport, collection, odeurs, Masturbation Oral pénétratio, init,

    ... non, rassurez-vous…— …— À tout à l’heure. Et de la douche, où elle continue à s’asperger, Armelle crie : — C’était JML ?— Oui. Il faut faire comme d’habitude…— Bien entendu.— Dans combien de temps ?— Dans quarante minutes…— Ben dis donc, il a mis le turbo ! Affalé sur la banquette, les jambes étalées, le sexe gluant de nos plaisirs, je contemple les deux filles, sans réellement comprendre. Dois-je demander des explications ? Puis-je être indiscret ? Après tout, ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de mieux connaître les petits et les grands secrets de la légendaire caravane, et je me lance (Armstrong, bien entendu !) : — Euh… JML ! C’est qui ?— Ben, dit Armelle qui se décide à émerger du bac à douche, c’est le patron du Tour !— Ah ! Et, sans indiscrétions, que vous voulait-il ? Les deux filles se regardent et pouffent de rire en même temps, mais restent muettes. Ce fou rire, car elles sont en train d’attraper un véritable fou rire, me permet d’admirer le corps d’Armelle. Les seins en pomme, aux larges aréoles marquées dans leur centre par de larges tétons cernés de picots hérissés par la douche, le ventre plat, dégoulinant d’eau et marqué par un profond nombril. Elle offre, elle aussi très naturellement à ma vue, pourtant brouillée par un premier orgasme, une intimité largement offerte à la vue car totalement épilée. Un abricot brun, charnu, aux lèvres finement ciselées et légèrement pendantes. Les cuisses fermes, longues, son corps est parfait. Et sa vue semble ...
    ... faire aussi de l’effet sur mon sexe qui commence à se redresser. — J’espère que ce n’est pas moi, l’objet de cette hilarité ! dis-je un brin boudeur, avec cet air de celui qui se sent un peu exclu.— Oh ! Non… mais quand tu sauras, toi aussi tu riras. En attendant, Armelle s’approche de moi et vient s’agenouiller devant mon pénis qui est en train de se développer largement, avance sa main, humide et chaude et, du bout des doigts, commence à me masturber. Annabelle à son tour s’approche, se penche vers ma tige qui raidit à vue d’œil, et m’embouche. Ah ! Quel plaisir total et complet que de satisfaire ce magnifique fantasme de se laisser sucer et masturber par deux magnifiques femmes ! Je me laisse aller. Une fois encore j’en oublie tout… jusqu’au lieu où nous nous trouvons, à moins de quelques pas d’une foule affairée et bruyante qui – je l’espère – ignore ce qui se passe ici. De temps à autres, j’ouvre les yeux pour me délecter de ce spectacle rare. Cela me permet de voir Armelle m’enjamber, me présenter son dos et sans me lâcher de la main, diriger mon pénis vers ses lèvres imberbes, charnues, largement ouvertes et humides. Elle aussi s’empale sur moi, les deux mains sur les cuisses, elle entame un rapide va-et-vient qui me mène au bord de l’explosion, d’autant qu’Annabelle, d’une main experte et douce, frotte mes bourses. Je cale mes deux mains sur ses hanches et entame un rythme soutenu qui accroît ma jouissance et la sienne jusqu’à mon explosion finale qui, malheureusement, ...
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