1. Un parfum de victoire sur la Grande Boucle...


    Datte: 28/09/2018, Catégories: ffh, inconnu, vacances, sport, collection, odeurs, Masturbation Oral pénétratio, init,

    ... dure moins longtemps que la première mais me laisse voir un feu d’artifice dans mes paupières closes. Exténué, à bout de souffle, les jambes en coton, le bassin d’Armelle remuant encore quelques instants au-dessus de moi, je dois avouer être flapi et n’aspirer qu’à une bonne douche réparatrice. Encore plus affalé sur la banquette, j’attends quelques instant avant de remuer, d’aller à la douche mais Annabelle s’approche de moi, tenant dans les mains une serviette qu’elle sort de son emballage. Avec des gestes précis, doux, rapide, elle m’essuie le sexe de son enrobage de restes gluants de mon plaisir et du plaisir d’Armelle. J’ouvre de grands yeux, intrigué. — Tu sais, je prendrais bien une douche, si c’est possible !— Mais il n’y a pas de problème, mais ça, c’est un extra…— Un quoi ?— Un extra… attends, je vais t’expliquer. Et tandis que mes yeux suivent les gestes d’Annabelle, en vision marginale (enfin, pas si marginale que cela), Armelle s’est emparée d’une des mascottes du Tour, l’un de ces fameux petits lions en peluche et, jambes largement écartées, frotte le ventre de la petite peluche sur son sexe, encore mouillé et dégoulinant de notre union ! Une main ouvrant largement son intimité, elle semble prendre un certain plaisir à ce frottement masturbatoire… Puis interrompt la montée de son plaisir et tend la peluche à Annabelle qui l’échange contre sa serviette. Et Annabelle, accroupie devant moi, jambes écartées, s’aide, elle aussi, d’une main, ouvre sa vulve, encore ...
    ... humide de notre fornication, et frotte les flancs du lionceau avec méthode et application contre ses lèvres intimes. Devant mon regard étonné, surpris (on le serait à moins) les deux filles finissent leur besogne et rient à belles dents. — Mais qu’est-ce que vous faites ? Armelle me regarde et sentencieusement me dit : — Chut ! Maintenant, tu es dépositaire d’un lourd secret… Voilà. Et après m’avoir fait promettre de ne rien révéler, elle m’explique que le nouveau porteur du maillot jaune, à l’étape ce soir, aime ceindre autour de son cou une serviette éponge qui porte les odeurs d’une femme qui vient de faire l’amour. — D’ailleurs, enchaîne Annabelle, tu as qu’à regarder, quand il monte sur le podium, il s’essuie toujours le visage avec cette serviette, en en respirant l’odeur, comme s’il essuyait des gouttes de sueur de son nez, mais en fait il respire l’odeur de la cyprine et du sperme frais… Je reste ébaubi. — Mais il n’y a pas que le cérémonial de la serviette, enchaîne, Annabelle. Il s’empare aussi de ce petit lion, mascotte emblématique, qui vient de nous essuyer, continue Armelle. — …et il le respire aussi, l’embrasse, le suce ! complète Annabelle.— C’est vrai, en fait, il ne l’embrasse pas, il le lèche, ajoute Armelle. Et il aime à s’en barbouiller les lèvres ! Un instant de silence s’installe. Je reste ahuri par la description de cette gestuelle, de ce rituel. — Mais pourquoi ? dis-je.— Je sais pas, c’est peut-être ce qui le fait courir devant, ce qui le motive ! ...
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