1. LULU 3


    Datte: 29/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    LULU 3 Le ventre de Lulu se contracte sous la succion du clitoris. Barbara-Lulu, la vedette ne dort pas, Lulu ma femme, ne proteste plus, elle émet des soupirs exagérés, grogne sa joie, geint, pousse des cris de plaisir. C(est foutu. Elle est matée, femelle soumise, victime à la fois de ses sens énervés par l’habile patron de cabaret, victime aussi de l’alcool ingurgité et victime surtout de son brûlant désir de faire carrière et de devenir célèbre et riche pour moi : C’est un comble , je n’ai rien demandé, elle a perdu la tête. Richard lui a fait connaître le prix de son aide précieuse, il a assis ses arguments dans un esprit embrouillé par l’alcool et par l’appel de la célébrité. Pour lui c’est bien joué et c’est gagné. Claude avait raison. Pauvre femme, les léchouilles ont raison de ses derniers retranchements. Dans son ventre en émoi, sous la bouche et contre les doigts fouineurs, monte l’impression d’entrer dans un nouveau monde, fait de tremblements de bonheur, de frissons dus aux louanges et aux applaudissements, un monde rempli d’hommes qui bavent en découvrant sa nudité unique. Des hommes qui lui lancent des billets en euros . Les doigts la fouillent, un corps chaud rampe sur son ventre, pèse de tout son poids, lourd et rassurant, une verge gonflée de sang chaud presse sur sa cramouille épanouie, offerte, le gland pèse, pousse, s’ouvre la voie et s’enfonce. Le pubis reçoit la poussée du bas-ventre : il n’y a pas moyen d’aller plus loin : il l’a prise, elle s’est ...
    ... laissé faire, elle s’est donnée. Elle savoure la pénétration. Il savoure sa victoire. Désormais, cette femme est marquée par son membre viril plus sûrement qu’au fer rouge. Ils sont unis, immobiles. L’homme s’inquiète de savoir si c’est bon. Elle est bien, c’est bon, c’est chaud, oui elle est heureuse, oui elle lui appartient, oui elle suivra ses conseils. Elle le remercie pour tout ce qu’il a fait pour elle. Oui, elle fera une grande et belle carrière grâce à lui. Encore… Ça dure, que puis-je opposer à la vision paradisiaque de cet homme riche qui la baise et la fait rêver ? J’aurais dû écouter mon frère. Satisfait de s‘être installé en sa protégée, Richard relève son arrière train, ses fesses montent et retombent, son gourdin sort du puits, puis y replonge, en montant il fait sortir du noir des chairs roses puis au retour, il les renvoie dans leurs ténèbres. Il va, il vient, elle est écrasée, puis suit, en appui sur les talons, la montée rapide du piston. Dix fois, cent fois, pendant une éternité, il la bouscule, la remue, la secoue, la réduit à recevoir les coups de bite, à être chair chaude, bouillante, obéissante, à gémir au lieu de penser. Perdue, elle s’accroche aux hanches, elle agrippe une fesse, elle emprisonne des mollets poilus entre ses jambes épilées, elle tire sur ses muscles pour être pénétrée à fond. Et lui, domine, entre, sort, force, double la pénétration en enfonçant son majeur dans le derrière, en le frottant contre le sphincter forcé. Il gronde, se raidit, ...
«1234»