Le contrôle fiscal
Datte: 02/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
ascenseur,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
... sèchement. Mais un bon chasseur est un chasseur patient, et Jacques Bertier était un bon chasseur. Il attendait le bon moment pour lancer son attaque et ce moment arriva en début de soirée. De toute la journée, Brigitte Dubois n’avait quitté son bureau que pour demander des dossiers à Solange, la secrétaire, et pour se rendre aux toilettes. À chaque fois, elle était passée devant la porte grande ouverte du bureau de Bertier, ignorant tout à la fois son sourire poli et les regards visiblement admiratifs qu’il portait sur son appétissante anatomie. Vers vingt heures, elle avait fait une dernière apparition, s’arrêtant devant le bureau du directeur. — Je reviendrai lundi. Merci de bien vouloir laisser les dossiers dans le bureau.— À lundi alors. Bon week-end, Mademoiselle. Elle l’avait fusillé du regard avant de quitter le bureau et il l’avait suivie discrètement jusqu’à la voir disparaître dans la cabine de l’ascenseur. C’était un vieil ascenseur avec une cabine en bois et en acier, fermée par une grille coulissante et qui s’élevait en centre d’une structure en fer forgé traversant les trois étages de l’immeuble cossu abritant les locaux de la PME et les appartements de leur directeur. Il avait attendu qu’elle s’approche du rez-de-chaussée pour entrouvrir discrètement la grille du deuxième étage, immobilisant brusquement la cabine à deux mètres du sol, puis il était parti se réfugier dans son bureau, attendant avec excitation la suite de son plan machiavélique. La sonnerie de ...
... l’alarme n’avait pas tardé à retentir dans l’immeuble désert. Trois longues minutes plus tard, Bertier avait fait son apparition dans la cage d’escalier. — Monsieur Bertier ?— Mademoiselle Dubois ? Quelque chose qui ne va pas ?— Mais non voyons, qu’allez-vous imaginer ? Je comptais tout simplement passer mon week-end dans votre ascenseur ! Faites plutôt quelque chose pour remettre cette antiquité en marche, au lieu de poser des questions stupides ! Après avoir descendu les deux étages en essayant de se retenir de rire, il s’était arrêté à hauteur de la cabine, s’efforçant de prendre un air désolé autant qu’embêté. — J’aurais dû vous prévenir, cela lui arrive de temps en temps. Le problème c’est qu’à cette heure-ci, un vendredi en plus, je ne suis pas sûr qu’on puisse trouver un dépanneur.— Débrouillez-vous, mais sortez-moi d’ici ! Elle était visiblement inquiète et cela la rendait encore plus attirante. Debout au pied de la colonne d’acier, Jacques Bertier regardait la charmante contrôleuse des impôts qui trépignait d’impatience en lui ordonnant de trouver une solution. D’où il était, il pouvait tout à loisir laisser son regard se glisser entre les grilles de la cage d’acier et remonter le long des jambes gainées de nylon noir. Il ne discernait pas grand-chose, mais pour l’instant il se contentait d’imaginer le captivant trésor qui se dissimulait dans la pénombre de ses cuisses. — J’ai une idée. Si vous pouvez ouvrir la grille, vous arriverez sans doute à vous glisser entre le ...