1. Le contrôle fiscal


    Datte: 02/08/2017, Catégories: fh, hplusag, inconnu, ascenseur, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo,

    ... un petit cri de surprise, Bertier avait compris que la chance était une nouvelle fois de son côté. Une vis opportunément placée sous l’encadrement venait de déchirer le collant qui s’était ouvert comme un fruit mûr pour révéler l’éclat pâle et brillant d’une magnifique paire de fesses. Mais la vis malicieuse ne s’était pas arrêtée en si bon chemin, elle avait choisi d’accrocher en même temps l’élastique de la petite culotte de coton blanc qui s’était enfoncée brusquement entre les fesses et entre les lèvres de son con qui apparaissait sur le rebord de la cabine, à quelques centimètres à peine du visage ravi de Bertier. — Oh ! mon Dieu, oh ! mon Dieu… Sans cesser de jurer et de se lamenter, elle s’était mise à agiter les jambes et les fesses dans l’espoir de libérer la petite culotte et Jacques Bertier avait eu bien du mal à ne pas éclater de rire. Quelques secondes plus tard, l’élastique du slip avait cédé à son tour, libérant le triangle de coton blanc qui pendait autour de sa cuisse tout en restant encore profondément enfoncé entre les chairs brillantes de sa chatte et les sphères joufflues de son joli cul. À présent, elle arrivait à poser les pieds sur les épaules de son hypocrite sauveur qui contemplait avec ravissement le superbe paysage s’offrant quelques centimètres au-dessus de lui. Il sentait le corps de la jeune femme trembler sur ses épaules, et il imaginait ce qui devait lui passer par la tête à l’idée de se retrouver le cul et le con à l’air juchée sur les ...
    ... épaules d’un parfait inconnu, encore prisonnière de ce maudit ascenseur. — C’est bien, vous y êtes presque, encore un dernier effort et vous pourrez sortir. Mais si j’étais vous je dégraferais le soutien-gorge. S’il reste accroché, il ne cédera pas aussi facilement que la petite culotte. Sans hésiter, Brigitte Dubois s’était débarrassée de son dernier vêtement. Elle aurait sans doute pu essayer de couvrir ses seins derrière les bonnets, mais elle n’en pouvait plus et n’aspirait qu’à sortir au plus vite de la cabine. Et c’est ce qu’elle parvint finalement à faire en faisant passer sa généreuse poitrine par-delà l’encadrement de la porte. Elle était libre, se tenant à la cage d’acier, entièrement nue à l’exception des lambeaux des collants et de la petite culotte encore accrochée à ses jambes, le corps tremblant dressé sur les épaules de Jacques Bertier. Il l’avait aidée à rejoindre le sol, laissant ses mains se poser impudiquement sur ses fesses, regardant sa chatte brillante puis ses seins aux tétons dressés d’excitation passer juste devant son visage. Tandis qu’elle éclatait en sanglot tout en se serrant contre son sauveur, il avait posé sa veste sur ses épaules pour lui permettre de dissimuler sa poitrine dénudée. Ses collants déchirés à mi-cuisse révélaient les rondeurs de son con, au cœur duquel s’accrochaient encore les pans de sa petite culotte. — Voilà, c’est fini ! Je suis vraiment désolé.— Mais… je… Qu’est-ce que je vais faire maintenant ? Mes vêtements sont restés dans ...
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