1. Le contrôle fiscal


    Datte: 02/08/2017, Catégories: fh, hplusag, inconnu, ascenseur, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo,

    ... plancher de la cabine et l’encadrement de la porte du rez-de-chaussée. Je vous rattraperai.— Mais c’est bien trop petit, je ne passerai jamais.— Mais si, voyons ! Si la tête passe, le corps passera aussi. Je vous en donne ma parole. Elle s’était agenouillée avant de s’allonger sur le sol de la cabine et de passer sa tête sous l’encadrement de fer forgé. Son chignon était défait et ses boucles brunes encadraient un visage brillant d’angoisse autant que d’excitation. Tout en feignant de téléphoner sans succès au réparateur, Jacques Bertier utilisait son portable pour prendre des photos de sa proie, tombée dans le piège qu’il avait élaboré pour elle. Après avoir hésité de longues secondes, demandant s’il n’avait pas une meilleure idée, elle avait fini par lui passer ses escarpins à talon avant de se retourner pour glisser ses pieds enveloppés de nylon dans l’étroite chatière. Bertier continuait à photographier les jambes noires qui s’avançaient entre les torsades d’acier, attendant le moment où la jupe commencerait à remonter jusqu’au sommet des cuisses tandis qu’elle les faisait glisser hors de la cabine. — Vous savez, je crois que vous feriez mieux de retirer vos vêtements. Ce sera plus facile et vous ne risquerez pas de les abîmer. Elle s’était arrêtée, la jupe remontée jusqu’au sommet d’une magnifique paire de fesses, emballées dans des collants de nylon noir. Elle savait qu’il avait raison, mais de là à se désaper devant un contribuable soumis à un contrôle fiscal, il y ...
    ... avait de la marge. — Écoutez, je vais me déshabiller, mais que tout ceci ne vous fasse pas croire que cela change quoi que ce soit à mon enquête.— Mais bien entendu, Mademoiselle. Elle s’était déshabillée sans daigner lui prêter la moindre attention. Pliant une à une ses affaires sur la banquette de bois avant de se retrouver en collant et en soutien-gorge. Un soutien-gorge blanc, plutôt sage, qui mettait néanmoins en valeur les appétissantes rondeurs d’une superbe paire de seins. Son cul n’en était pas moins admirable, délicieusement moulé dans son écrin de nylon noir derrière lequel on devinait une petite culotte de dentelle blanche. Bertier ne perdait rien du spectacle, continuant à mitrailler discrètement la jeune femme au moyen de son portable, tandis qu’il sentait avec délice son sang battre contre ses tempes et sa queue frémir d’impatience dans la prison de son slip. — Ce n’est pas la peine de continuer à essayer de téléphoner, il n’y a visiblement personne au bout du fil. Occupez-vous plutôt de me réceptionner.— Avec plaisir, Mademoiselle Dubois. Elle l’avait fusillé du regard, tout en étant parfaitement consciente qu’il tenait son sort entre ses mains et ses bras musclés. Elle avait donc repris sa position, laissant pendre ses jambes hors de la cabine, jusqu’à ce que ses fesses se retrouvent coincées sous l’encadrement d’acier de la porte et son con écrasé contre le rebord de la cabine. La chasse est souvent une question de chance et lorsque la jeune femme avait poussé ...
«1234...7»