Le contrôle fiscal
Datte: 02/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
ascenseur,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
... l’ascenseur.— Ne vous inquiétez pas, j’habite au premier. Je suis sûr qu’on va trouver quelque chose à vous mettre. Et puis il vaut mieux désinfecter ces éraflures que vous vous êtes faites dans le dos et sur les fesses. Venez. Il l’avait précédée dans l’escalier malgré son envie de lui reluquer encore une fois les fesses. Mais, il était patient, et pour le moment il devait se comporter en gentleman, exclusivement préoccupé par le sort de sa malheureuse inspectrice. Dans l’appartement, il lui avait offert un peignoir qu’il l’avait aidée à enfiler tandis qu’elle se débarrassait de ses collants et de sa petite culotte déchirés. Puis il lui avait servi un grand verre de whisky. — Buvez, cela vous fera du bien, vous verrez. Je crois que vous en avez bien besoin après ce que vous venez de vivre. Brigitte Dubois a avalé le verre de whisky presque d’un trait avant de se mettre à tousser violemment, peu habituée à l’intense brûlure au goût de tourbe du whisky pur malt. Elle lui avait malgré tout tendu son verre pour qu’il le lui remplisse une seconde fois. Une émotion intense continuait à lui agiter le corps. — Vous devriez prendre une bonne douche, ça vous permettra de vous relaxer. Pendant ce temps, je vais préparer quelque chose à manger. Vous devez avoir faim après toutes ces émotions. Ensuite, nous nous occuperons de ces éraflures que vous vous êtes faites sur le dos avant que je ne vous raccompagne chez vous. D’accord ? La sévère contrôleuse des impôts avait cédé la place à ...
... une jeune femme fragile, tremblante d’émotion, qui n’avait ni la force ni l’envie de le contrarier. Il l’avait accompagnée jusqu’à la salle de bain, avant de la laisser seule, reprendre ses esprits et le contrôle de ses émotions. Son plan se déroulait à la perfection et il s’en sentait presque coupable. Mais la perspective de pouvoir bientôt profiter de ce corps magnifique qu’elle était sans doute en train de caresser sous la douche effaça presque aussitôt tout sentiment de culpabilité. Lorsqu’elle était ressortie de la salle de bain, emballée dans sa sortie de bain en éponge, une serviette de bain nouée autour de la tête, Brigitte Dubois avait presque retrouvé le sourire, seule l’idée de sa récente exhibition continuait à occuper ses pensées, lui faisant monter le rouge aux joues et lui chatouillant l’entrejambe pour son plus grand inconfort à chaque fois que Jacques Bertier la regardait en souriant. Elle avait dévoré l’omelette au fromage et la salade de tomates qu’il avait préparées pour eux, et avec l’aide de quelques verres de vin blanc, la jeune femme avait rapidement oublié son inconfort. Elle avait même ri aux éclats en se remémorant la scène de ses collants et sa petite culotte arrachés par les dents cruelles de la cage de fer forgé. — Quelle idiote, vous ne trouvez pas ? On pourrait croire que je l’ai fait exprès.— C’est vrai ça. L’avez-vous fait exprès ? Elle avait rougi brusquement avant d’éclater de rire. S’il avait encore eu un doute quant au succès de sa chasse, ...