Marie Claire
Datte: 30/09/2018,
Catégories:
fh,
amour,
vengeance,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
mélo,
amourdram,
... souffle rapide au début, puis ses gémissements. Je ne veux pas aller plus loin, c’est à elle de décider. Elle s’est libérée de mes mains, s’est redressée. Je me suis assis et elle est venue s’asseoir sur mes genoux, face à moi. J’ai repris mes baisers sur ses seins, mes mains se glissant sous sa jupe, l’enserrant, l’amenant à constater mon érection. Elle gémit sans arrêt, ses mains guidant ma tête. Mes doigts ont constaté l’humidité de sa culotte. Tous à coup elle s’est crispée, poussant un long gémissement : elle prenait son pied. Surtout, ne pas se précipiter, lui laisser l’initiative. Elle se relève, sans un mot, remets son corsage à même la peau. — Pardonne-moi David, je me suis conduite comme une traînée.— Mais non Marie, tout simplement comme une femme normale. Tu as pris du plaisir et cela m’enchante.— David, je préfère que l’on s’arrête, que tu partes, sinon j’irai trop loin.— Je te comprends ma chérie, je m’en vais. J’ai dit un mot magique. Je me lève, remets un peu d’ordre dans ma tenue, me dirige vers la porte. Elle me rattrape, tends les lèvres pour un baiser et me murmure doucement : — À vendredi prochain. Je sors, tendu à l’extrême, j’ai envie de baiser n’importe quelle femme. Je ne tiens plus. Je vais appeler Henriette. Et cette dernière profitera de tout le désir que j’ai accumulé. Ce soir, c’est avec un bouquet de fleurs que j’arrive chez Marie, c’est plus romantique. La porte n’est pas encore refermée que Marie est déjà pendue à mon cou. J’ai droit à un ...
... baiser brûlant. Je comprends que c’est aujourd’hui que je conclus. Le repas est liquidé très rapidement. Elle n’a pas soigné le menu comme les autres fois, une simple pizza et une glace. Quand elle bouge, je vois ses seins se balancer sous son corsage, elle a négligé le soutien-gorge. La jupe ample me permettra toutes les initiatives. À peine levés de table, elle m’amène sur le canapé, me fait asseoir. Le corsage vole au loin, et elle vient me chevaucher. Nous avons repris au point où nous étions arrêtés la dernière fois, embrasser ses seins, mes mains partant en exploration sous la jupe. Surprise, pas de barrière, elle est sans culotte ! C’était une invitation à faire la révolution. Après quelques minutes, sa main glisse vers mon entrejambe. Elle tâte puis serre mon sexe. — David, est-ce que tu voudrais me montrer ton…— Tu le veux vraiment ?— Oui, je t’en supplie… je te fais confiance. Nous nous redressons, je quitte pantalon et caleçon. En me retournant, je la vois toute nue. Intimidée, elle avance sa main vers cette bête qui lui fait tant peur. Je m’assois, lui laissant l’initiative. Accroupie devant moi, elle prend l’objet en main, le frictionne faisant coulisser la peau du prépuce. Cette main innocente me provoque une érection terrible. Elle l’examine, puis caresse. Sa maladresse est divine, je crains à un moment d’éclater sur elle. — Je t’en prie ma chérie, arrête-toi, tu m’excites trop. À mon tour de te contempler. Elle me libère, s’assied. Je m’installe à genoux entre ses ...