Marie Claire - Histoires de Sexe

Marie Claire

... pars en congé pour quinze jours. Ce soir, je vais mettre les choses au point : baiser d’accord, mais pas de sentiments. Comme à l’ordinaire, dès que je suis entré, elle m’a sauté dessus pour m’embrasser. Mais pourtant aujourd’hui elle ne m’a pas entraîné directement au lit. — David, mon amour, j’ai une bonne, une merveilleuse nouvelle pour nous deux.— Ah oui, que t’est-il arrivé ? Tu as de l’avancement ?— Non, j’ai attendu d’en être sûre, mais cette fois-ci c’est bon, je suis enceinte ! Nous allons avoir un enfant ! Tout s’est mis à tourner autour de moi. Non, elle ne m’avait pas fait ça ! Et justement le jour où j’allais lui dire que je la quittais. — Mais tu ne m’as pas prévenu, tu m’avais dit que tu prenais la pilule !— Je voulais te faire la surprise. Nous allons pouvoir vivre en couple, mon appartement est assez grand. Et je vais pouvoir l’annoncer à mes parents et à mon frère.— Mais pas question, je ne veux pas vivre avec toi, te baiser, tant que tu veux, mais de là à faire un enfant ! Nous aimons prendre du plaisir ensemble, nous sommes bien, mais je ne veux pas de couple, de mariage, ni surtout d’enfant. Ça y est, c’était dit. Un grand silence, les larmes coulent sur son visage, j’ai même un peu pitié d’elle, mais pas au point de me mettre en ménage, jamais de la vie. — Je suis prête à me soumettre à toi, à être ta servante, à faire tout ce que tu voudras, mais reste avec moi, je t’en supplie, je t’aime.— Il n’en est pas question. Si tu insistes, tout est fini entre ...

... nous.— Mais je t’aime et je croyais que toi aussi tu m’aimais. Elle est belle, j’aurais bien aimé terminer son éducation, lui casser le cul. Il me faudrait encore une séance. — Comme je te l’ai dit, je pars en congé avec Hervé au Sénégal pour deux semaines pendant les vacances de Pâques. Je vais réfléchir, et nous en reparlerons. Mais il faudra que tu m’accordes quelque chose d’important.— Que veux-tu que je te donne, je t’ai cédé en tout.— Non, je ne t’ai pas encore enculée.— Ah non ! C’est contre nature, je ne peux pas.— Mais si mon amour. Je repasserai vendredi en quinze, tu me diras si tu es d’accord. Dans ce cas, nous pourrons voir. Sur ce, tchao. Et je l’ai quittée, sans la baiser. Dans quinze jours je lui casse le cul et je la plante. -o-o-O-o-o- Je suis rentré cet après-midi de congé. Ce soir je vais la voir. Soit elle refuse, je n’aurai pas eu son dernier pucelage, tant pis, mais je serai tranquille. Si elle accepte, je profite d’elle, puis je me casse : ce sera plus délicat, mais elle en vaut le coup. Marie m’attendait derrière la porte, toute nue. Ambiance romantique, elle avait mis des lumières douces, elle acceptait mes conditions. Pas question de repas. Nous sommes allés directement au lit. Elle a accepté toutes mes exigences, même quand je lui ai pris la tête à deux mains, caressant ses oreilles bizarres. Je me suis vidé dans sa gorge, elle a tout avalé. Après un moment de repos, nous avons baisé, encore mieux qu’à l’ordinaire, c’est vraiment un bon coup. Et ...