Fantasme de voyeur
Datte: 01/10/2018,
Catégories:
fhh,
jeunes,
ascendant,
voisins,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
fsodo,
... pendants, les tétons saillants, la croupe offerte au mâle. La queue disparaît et maintenant il la baise. Ses mains vont prendre possessions des seins et il me semble apercevoir l’ombre d’une main qui glisse vers le pubis. C’est certainement celle de la femme qui est maintenant en appui sur la tête, offrant une cambrure de déesse. Ils s’activent. Je prends photo sur photo. Mon sexe est dur de ce qu’ils me montrent. La lumière qui jaillit me surprend. Il a dû allumer dans la chambre. Je distingue maintenant tous les détails des deux corps qui s’adonnent au plaisir. La femme est noire, son corps ondule. Elle va jouir. Son amant prend ses cheveux et tire comme un dresseur sur une crinière. Elle est tellement cambrée, allant au-devant de cette queue qui la prend, qu’elle semble comme désarticulée. Elle tourne la tête vers la fenêtre. Mais ! Non ! Mais si ! C’est bien elle ! Mélissa ! C’est ma copine que ce salaud fait jouir et pour en ajouter une couche, il se tourne dans ma direction en levant le pouce en l’air. L’enfoiré ! La garce ! C’est cela son service de nuit ! En tout cas la lumière ne semble pas la déranger. Manifestement elle s’en fout. Sa jouissance l’isole du reste du monde. Sa bouche s’ouvre et je peux presque entendre ses cris de plaisir. Lui se retire, fait sauter sa capote et balance la purée sur les reins et le dos de la salope. C’en est trop. Je quitte mon poste d’observation. Je passe un pantalon, des chaussures. Je vais sortir. Dans l’ascenseur je fulmine. Au ...
... rez-de-chaussée, déjà je suis plus calme. À quoi bon. Le mal est fait. Elle m’a trompé. Et lui, s’est vengé de mon espionnage. Quelques minutes plus tard, je suis de retour à l’appartement. Je ne peux pas m’empêcher de regarder à nouveau. Elle est déjà en train de lui redonner de la vigueur en le suçant. Il la pousse contre la fenêtre où elle prend appui sur les mains, penchée en avant. Il se positionne derrière. Soudain, elle ouvre la bouche, cherchant sa respiration. Je ne peux pas voir mais je suis sûr qu’il la prend par derrière. Elle est toujours très étroite par ce chemin et en général c’est douloureux, sauf si je la prépare longuement du doigt et de la langue. Mais ce n’est pas le genre de la maison. Il la bourre si fort que son visage vient s’appuyer contre la vitre, déformant un peu plus son expression de douleur. Mais elle ne semble pas protester. Au contraire, elle pousse sur ses bras pour reculer alors qu’il avance en elle. Je mitraille de photos. Le pire c’est que je bande. J’ai honte, mais je me branle et très vite j’éjacule contre les rideaux. À son expression, je peux suivre la montée du plaisir. Lui est bien plus long. Il regarde dans ma direction et lève à nouveau le pouce en signe de victoire. C’est la dernière photo que je fais. J’arrête. Je range tout. Lorsqu’elle est rentrée, j’ai fait semblant de dormir. Deux jours plus tard, j’ai déménagé ne laissant comme explication qu’une photo pleine page de son enculade, son visage reflétant la jouissance et son ...