Fantasme de voyeur
Datte: 01/10/2018,
Catégories:
fhh,
jeunes,
ascendant,
voisins,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
fsodo,
... amant le pouce levé. Un copain m’a prêté son studio le temps que je me retourne. Les jours passant, j’ai commencé à regretter mon départ, surtout lorsque je revois les photos. À chaque fois, mon érection me fait comprendre que ce spectacle me plaît et que j’ai peut-être raté une occasion de satisfaire mon goût du voyeurisme avec Mélissa. Trop tard. Ce soir j’ai de la chance et je trouve une place de stationnement juste en face de chez moi. Je cherche ce satané téléphone qui a glissé sous mon siège lorsque j’entends une altercation à quelques mètres de la voiture. Un gars est en train de bousculer une femme qui crie et tombe à terre. Il a une attitude très agressive. Je ne suis pas un héros, mais je sors de ma voiture en criant : — Arrêtez, j’appelle la police, en montrant mon téléphone enfin retrouvé. L’homme ne demande pas son reste et s’enfuit. Heureusement que l’homme est venu à mon secours. Je me voyais mal embarquée avec ce fou qui a dû me confondre avec une autre fille. Toujours est-il que je suis secouée de cette violence et littéralement trempée de ma chute. Je remercie mon sauveur. — Merci, heureusement que vous étiez là. Je me dirige vers mon scooter. — Vous n’allez pas partir tout de suite, en scooter en plus. Vous allez attraper la mort. Venez vous réchauffer un peu. J’habite juste en face, me propose l’homme. Quelques minutes plus tard, je me retrouve dans son studio avec un pull et un pantalon qu’il m’a prêtés, pendant que mes vêtements sèchent dans son armoire ...
... à linge. Il me propose un thé, un café, une tisane, un alcool et je me retrouve avec un verre de whisky qui me redonne du rouge aux joues. Je reprends mes esprits. Je découvre mon sauveur. Banal, assez grand, plutôt costaud, plus âgé mais un visage qui respire la franchise. Je pense, en rigolant à moitié, typiquement la tête sans histoire d’un tueur en série. — Ça va ? il demande.— Je n’arrive pas à me réchauffer.— C’est le contrecoup. Vous devriez prendre une douche. Cela va vous détendre. Attendez ! Il s’absente un instant. — J’ai mis une grande serviette et un peignoir. Il a raison. J’accepte. L’eau chaude me réchauffe et me délasse. Je reviens dans la pièce. Ses yeux s’égarent. Acte manqué ou oubli, le peignoir n’est pas bien fermé. Un sein s’affiche. Je n’ai pas honte, j’en suis fière. Il montre le privilège de la jeunesse. Je ferme un bouton, juste assez pour ne pas faire la pute. Nous bavardons. Il me questionne. — Mais que faisiez-vous, à votre âge, seule dans cette rue. Où habitez-vous ? Vous devriez téléphoner à vos parents. J’en ai marre de me faire prendre pour une gamine. Je rétorque. — Mais j’ai vingt ans et je fais ce que je veux. Mes parents ? Ah, mes parents. Ils sont en face…— En face ? Vous voulez dire au club ? Je lui balance tout. Ma surprise. Mon jeu de piste pour voir de mes yeux. Ma soirée en face. D’ailleurs, en racontant et revivant ce que j’ai vu, un trouble revient. L’agression, la chute, la douche n’ont pas éteint le feu en moi. Zut, j’ai envie. ...