1. Un narguilé peut en cacher un autre


    Datte: 01/10/2018, Catégories: fh, fhh, fagée, extracon, alliance, grosseins, vacances, boitenuit, voyage, volupté, Oral pénétratio, fsodo,

    Comme la veille et l’avant-veille, Josie entreprit son numéro de séduction envers le jeune barman tunisien qui nous apportait les trois apéritifs du soir. Elle l’aida à décharger son plateau en lui jetant une œillade langoureuse et, un sourire coquin aux lèvres, elle posa les verres sur la table basse en lui offrant une vue plongeante de sa poitrine lourde et laiteuse nichée dans les broderies d’un soutien-gorge en dentelle rouge. Le mari de Josie semblait ne rien remarquer, plongé qu’il était dans la préparation de la visite du musée du Bardo de Tunis qu’il avait envisagé pour le lendemain après-midi. Moi, j’avais compris depuis trois jours qu’on prenait l’apéritif ensemble que son épouse n’était pas venue dans ce palace de thalasso seulement pour faire disparaître son petit ventre rond, qui tendait sa robe chatoyante très décolletée et très courte. Josie, après vingt ans de mariage, avait visiblement envie d’ouvrir une petite parenthèse exotique dans sa vie conjugale. Elle continua son numéro de séduction comme d’habitude en profitant de l’inattention de son époux pour décroiser les jambes .Elle voulait offrir au barman une vue panoramique sur deux cuisses musclées assez ouvertes , volontairement, pour laisser entrevoir une petite culotte de dentelle, assortie au soutien-gorge. Moi, assis en face d’elle, je bénéficiais aussi du spectacle mais j’étais très conscient que celui-ci ne m’était pas destiné. Le regard blasé et indifférent du jeune employé de l’hôtel ne la ...
    ... décourageait pas, Josie continuait de lui lancer son regard de braise en espérant que peut-être ce jeune mâle lui accorderait ses faveurs en lui arrachant fougueusement la petite culotte qu’elle découvrait si impudiquement. Visiblement ma modeste personne ne l’intéressait pas, peut-être parce que j’avais une dizaine d’années de plus qu’elle… Josie préférait surtout avoir une discrète aventure extra conjugale portant l’ estampille « sentant bon le sable chaud. » Moi je la laissais à ses douces illusions car, de par ma connaissance du pays, je savais qu’elle n’avait aucune chance. Mon entreprise multinationale m’envoyait souvent en Tunisie pour programmer ou installer des robots-machine-outils utilisés dans l’industrie textile délocalisée dans ce pays charmant. Je savais donc que, dans les palaces de la côte, comme dans tous les pays à vocation touristique, le personnel ou les gigolos professionnels du pays abandonneraient les allemandes couvertes de bijoux pour une gazelle française, seulement si la gazelle avait moins de vingt ans… Elle me plaisait bien Josie : assez courte sur pattes certes mais une poitrine bien ronde et ferme, les jambes galbées et musclées, une belle croupe rebondie, un visage toujours souriant avec de belles joues enfantines et surtout une joie de vivre exubérante qui tranchait avec la morosité chronique de son mari. On avait sympathisé très vite, d’abord parce qu’on était les seuls français à prendre l’apéro et qu’ils s’étaient vite rendus compte que ma ...
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