1. Un narguilé peut en cacher un autre


    Datte: 01/10/2018, Catégories: fh, fhh, fagée, extracon, alliance, grosseins, vacances, boitenuit, voyage, volupté, Oral pénétratio, fsodo,

    ... tunisien ( un gros peu traditionaliste sur la place de la femme dans la société ) de l’emmener visiter une petite fabrique de tapis dont la tante d’Ahmed était propriétaire. Josie insista alors grossièrement pour que je fasse partie de l’équipée. Elle avait senti que le jeune cadre, reconnaissant, ne ferait rien qui puisse me fâcher. (Ahmed avait en effet avoué à table, que je l’avais sorti d’un beau pétrin en n’informant pas sa direction qu’en fait, le robot avait refusé carrément la mauvaise programmation du jeune tunisien inexpérimenté) On termina la soirée sagement dans la boite de nuit du palace en dégustant du thé vert. Josie apprenait le twist à Ahmed, moi je parlais mosaïque romaine avec son mari tout en observant. Trois ou quatre jeunes éphèbes cherchaient une proie argentée parmi les nombreuses allemandes venues, sans leur mari, faire une cure de thalasso avec leurs copines. Du twist on passa au rock et, les danseurs firent un cercle autour d’un couple d’allemands surprenant, en les encourageant par des applaudissements. La dame avait la cinquantaine, son époux aussi mais il était sur un fauteuil roulant et faisait virevolter sa partenaire tout autour de lui dans une chorégraphie bien réglée. Ils eurent beaucoup de succès mais, ce qui attira mon attention, c’est l’attitude provocatrice de l’infirme. Il regagna sa table en traversant la piste, un regard malsain et un rictus vicelard enlaidissait son visage. Pendant tout le trajet il caressa grossièrement et sans ...
    ... pudeur les fesses de son épouse au vu de tout le monde. Je fis part de ma mauvaise impression à Josie qui se moqua de mon imagination trop fertile. Pourtant, elle fut la première à reconnaître le bien-fondé de mes impressions. Dans le fond de la salle, près de notre table, le fauteuil roulant de l’infirme tournait le dos au public mais son épouse faisait face à la piste. Elle repéra très vite deux jeunes accoudés au bar et, adressa quelques mots à son mari qui approuva d’un bref mouvement de tête. Ensuite, elle attendit que les jeunes regardent dans leur direction et, à notre stupéfaction, la sexagénaire écarta les deux pans de sa longue jupe indienne. Elle découvrit entièrement ses deux jambes gainées de bas noirs et les écarta ostensiblement avec une perversité qui se lisait sur les traits de son visage. Elle resta ainsi une dizaine de secondes avant qu’un des deux gigolos ne se décide à les rejoindre. Debout, il écouta l’invalide dont la main gauche agitait discrètement une grosse coupure de banque. L’épouse semblait complètement blasée et indifférente à cette situation que moi je jugeais surréaliste. Le jeune hésitait encore, alors elle tira complètement un pan de la jupe indienne et dévoila la trace blanche, non bronzée, du bas d’un maillot de bain qu’elle ne portait plus. Elle fit même semblant de se caresser, pour le narguer, en lui lançant un regard provocateur et méprisant à la fois. Josie choquée par ce marchandage de néo-négrier m’entraîna manu militari sur la piste ...
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