Un narguilé peut en cacher un autre
Datte: 01/10/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
fagée,
extracon,
alliance,
grosseins,
vacances,
boitenuit,
voyage,
volupté,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... pour la série de slow baveux. Elle se montra franchement amusée que je teste manuellement, dans la pénombre de la piste, la fermeté de son fessier et l’arrogance moelleuse de sa poitrine, à cinq mètres de son mari, inconscient de la frivolité de sa moitié. Le lendemain, après le repas de midi , pendant que la rondelette française visitait les métiers à tisser et filmait les bédouines qui officiaient, la tante d’Ahmed nous conduisit dans une petite pièce avant de rejoindre sa cliente. Sans me demander mon avis, alors que je m’asseyais sur un pouf en cuir, Ahmed alluma le narguilé et lança une cassette de musique arabo-andalouse très lancinante. En tirant la première bouffée, je me rendis compte que le mélange n’était pas habituel : Normal puisque Ahmed, croyant me faire plaisir, avait ajouté quelques brindilles d’herbe magique… C’est à ce moment que la tante du tunisien ouvrit la porte et s’introduisit dans la pièce en compagnie de sa cliente et d’un superbe tapis artisanal. La tunisienne était si ravie d’avoir fait affaire, qu’elle entama quelques pas de danse orientale rythmée sur la musique langoureuse. Elle invita Josie qui tirait, par curiosité, une longue bouffée de la pipe à eau, à l’imiter. Ma copine, me demanda de filmer cette leçon improvisée de danse du ventre, en me tendant sa caméra numérique. La tante d’Ahmed, me somma tout de suite d’arrêter car elle venait d’avoir une idée lumineuse. Les deux femmes disparurent dix minutes et, je dus me frotter les yeux car, ...
... une Josie inattendue, déguisée en danseuse de tripot, réapparut sur la piste. Ses seins volumineux s’agitaient dans un soutien-gorge d’un vert fluorescent parsemé de centaines de paillettes dorées. Une large ceinture assortie au soutien-gorge retenait une longue jupe de voile pailleté d’or . La taille très basse de la ceinture contenait un ventre bien rond orné d’un faux diamant très brillant dans le nombril. Avant de reprendre son cours de danse, Josie me supplia de filmer ces instants historiques. Quand la vielle tunisienne nous quitta, la française se débrouillait déjà assez bien. Encouragée par nos applaudissements, avec un sourire ambigu, elle transforma la danse orientale en danse plus que sensuelle en nous invitant à la rejoindre sur la piste moelleuse du tapis berbère qui recouvrait le sol. Bien entendu, Josie savait très bien ce qui ne manquerait pas de se passer vu le regard coquin qu’elle nous lança. Ahmed et moi, commencâmes à lui tripoter ses gros nichons en faisant disparaître le soutien-gorge pailleté. Elle joua un peu les vierges effarouchées en s’échappant quelques secondes mais cela décupla nos instincts de primates car, elle continuait de se dandiner, ses longs bras ondulant au-dessus de sa tête, et ses gros nichons libérés de toute entrave tournoyant, comme au ralenti, en apesanteur. Pour la suite des événements, mes souvenirs sont plus flous, conséquence logique de mon inexpérience en herbe locale. Je me souviens quand même que des mains masculines fébriles ...