Un narguilé peut en cacher un autre
Datte: 01/10/2018,
Catégories:
fh,
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... mais ,qui devait quand même assumer une petite soixantaine, insista pour que cela se passe le soir même car elle savait mon retour en France proche. Alexandra, c’était son prénom, était élancée et mince. Elle portait des fringues griffées, de luxe, notamment une jupe DIOR d’un blanc immaculé, longue fermée latéralement par une série de gros boutons turquoise. Madame devait être très aisée car, manifestement, elle avait fait un lifting qui lui tirait un peu trop les joues. Sa chevelure blonde et abondante était coiffée en chignon , agrémenté d’un gros nœud en tissu assorti aux boutons de la jupe. Alexandra m’inspirait le respect par sa distinction et sa retenue naturelle .Aussi me choqua-elle profondément quand la famille Josie s’éclipsa : Elle me chuchota alors que les deux tourtereaux avaient bien de la chance de pouvoir s’envoyer en l’air alors qu’elle, depuis la grave opération de la prostate de son dépressif de mari… Elle vivait comme une none, paraît-il, dans son petit village, sans voir personne depuis trois ans. Cet appel du pied, Alexandra me le confirma clairement dans leur chambre : Quand le vieux pharmacien suisse se mit à préparer le narguilé en suivant mes instructions, son épouse se plaça à mes côtés. Comme tous les fauteuils étaient pris par les valises, je m’étais installé, debout, derrière le haut dossier d’un divan sur lequel monsieur déballait la pipe à eau. La main d’Alexandra mesura alors la musculature de mes fesses tout en entretenant la conversation ...
... avec son mari. Surpris et intimidé, je ne savais quoi faire. La Mamie me prit alors la main droite et elle l’introduisit dans l’ouverture située entre sa taille de guêpe et le premier bouton latéral de sa jupe. Alexandra n’avait pas froid aux yeux et, c’est avec un plaisir non dissimulé, qu’elle me laissa vadrouiller sur le satin d’une petite culotte très échancrée qui ne comportait pas d’élastiques latéraux mais, une bande des froufrous en fine dentelle .Dans la foulée, ma main passa sous le tissu et rencontra d’abord une toison clairsemée avant de s’attarder sur une fente déjà humide, hérissée de petites crêtes moelleuses. Alexandra resta même imperturbable quand je finis l’exploration, en lui enfonçant délicatement mon index dans son trou du cul. C’est vers minuit qu’elle me rejoignit dans ma chambre et que j’entamais les préliminaires que je voulais longs et élégants. Alexandra éclata alors d’un rire distingué et, tout en déboutonnant son chemisier, elle déclara crûment qu’après un si long jeûne, elle espérait plutôt d’un français pas trop mal foutu, une bonne baise à la place du flirt poussé que j’avais ébauché… Complètement nue maintenant, Alexandra joignit le geste à la parole en empoignant mon sexe à deux mains, et en m’entraînant sur le lit. Un écrivain avait avoué qu’il adorait les femmes mûres car on avait l’impression qu’elle faisait l’amour pour la dernière fois…. Il avait foutrement raison. Allongée dans la largeur du lit, la tête dans le vide, j’avais fait faire ...