Un narguilé peut en cacher un autre
Datte: 01/10/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
fagée,
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volupté,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... s’étaient immiscé sous les voiles et l’avaient débarrassé, en même temps, du bas de la tenue et de sa petite culotte. Josie, complètement nue, sous nos supplications lubriques, avait alors consenti à continuer de danser. Ses mouvements de hanches devinrent provocateurs :Sa chatte velue suivait les saccades d’une pénétration simulée. J’ai encore le souvenir très brumeux de Josie, allongée sur le tapis, qui nous faisait remarquer gentiment, qu’elle appréciait qu’on s’occupe de ses seins mais qu’elle aimerait beaucoup qu’on la caresse partout, partout… Alors on tint compte de ses observations et elle s’en montra ma foi fort satisfaite. Une fellation fougueuse nous remercia de tous nos efforts. La française était une grosse gourmande et elle avalait notre sexe avec beaucoup d’enthousiasme en l’emprisonnant dans sa petite main qui coulissait divinement sur nos membres moites. D’après mes souvenirs, ce fut elle qui organisa le bouquet final. Josie sortit même de son sac une boîte neuve de préservatifs (aventurière, mais prévoyante). Elle invita Ahmed à s’allonger sur le tapis et, comme si elle avait géré cette situation régulièrement, Josie s’enfila sur le gros sexe tunisien en s’accroupissant. Ahmed, sur ses injonctions, commença à limer cette charmante touriste qui posa les genoux à terre et commença à pousser de petits cris de bonheur en agitant son bassin pour que la pénétration soit plus aisée. Moi, affalé sur les poufs, j’attendais naïvement mon tour, tétant la pipe à eau, ...
... entretenant manuellement la raideur de mon sexe. Je fantasmais sur une double pénétration possible de notre partenaire à la croupe si épanouie. Je me souviens parfaitement avoir essayé de me relever pour passer à l’acte mais…. Le grand trou noir…. plus de son, plus d’image…Une coulée d’eau glacée dégoulinant sur mon visage me fit refaire surface. Ahmed m’avait rhabillé sommairement et Josie, en tenue de ville, un seau vide à la main se foutait ouvertement de ma tranche déconfite. Le narguilé à l’herbe magique avait anéanti tous mes espoirs de stupre et de fornication ! Le retour du bus d’excursion fut tardif et, le mari de Josie se pointa à notre table, avec un paquet cadeau et un couple de Suisses âgés avec lequel il avait sympathisé. Je faillis m’étrangler quand Josie ouvrit le cadeau de son gentil cocu de mari car, il s’agissait d’un superbe ensemble prévu pour la danse orientale. Il suggéra même à son épouse adorée de l’essayer dès ce soir, avec des sous-entendus grivois concernant le devoir conjugal… Ce qui n’enchanta pas du tout du tout Josie. On soupa tous ensemble, le couple suisse était sympa et Josie dut faire un compte-rendu très éludé de son après-midi en évoquant le narguilé mais, en omettant la danse du ventre qui avait dégénéré dans la luxure. Le vieux touriste suisse en profita alors pour me demander de l’initier au fonctionnement d’un narguilé qu’il avait acheté dans les souks, la veille, pour épater ses amis de Lausanne. Son épouse, un peu plus jeune que lui ...