1. Enfin déniaisé !


    Datte: 02/10/2018, Catégories: hh, jeunes, copains, forêt, intermast, Oral init, inithh,

    ... déjà un peu plus bas que lui. J’ai le cœur qui bat à tout rompre et je me rends compte que mes mains sont devenues moites et tremblantes. Je remarque également que je ne bande plus, faut que j’arrête de trop réfléchir. Allez, j’ai promis et je ne veux pas le décevoir. Je m’agenouille. Je suis pile à la bonne hauteur. J’ouvre le bouton de son jean et baisse le zip. Je n’arrive pas encore à savoir s’il bande ou pas. Je dégage ses hanches et baisse son pantalon sur ses mollets. Il a un slip bleu ciel qui laisse percevoir la forme de sa bite, elle semble pas trop gonflée, et toujours molle. Je lève les yeux vers ceux de Fabien. Il épie chacun de mes mouvements. C’est la première fois que je vois cette expression sur son visage, ça doit être l’excitation mêlée à l’angoisse de ce qui va se passer, un peu comme moi… Il a toujours son doigt sur le bouton du chrono de sa montre. Je redescends mon regard sur son slip. Avec mes deux index, j’accroche l’élastique de son slip, l’écarte et commence à le faire glisser. Je suis maintenant en "tête-à-tête", à quelques centimètres de sa bite. Elle dégage une sorte d’aura envoûtante, et pourtant il ne bande pas ou plus, mais moi oui, je commence à être dans un état second. Je prends sa bite dans ma main pour la soulever un peu. Ça le fait sursauter et un petit "ah" de surprise s’échappe de sa bouche, mais il ne bouge pas et ne dit rien d’autre. Alors, je décide de le branler un peu, tout doucement, pour qu’elle prenne de la vigueur. Ça doit ...
    ... vraiment lui faire de l’effet, car il laisse échapper un soupir révélateur. Maintenant, sa bite est bien bandée. Elle n’est pas très grande, à peine plus d’une dizaine de centimètres. J’ouvre grand la bouche, à ce moment, c’est moi qui ne suis plus rassuré. J’avance vers sa verge, la fais entrer dans ma bouche, mais sans la toucher, comme si ça pouvait m’empoisonner, et quand j’arrive près du pubis, j’arrête d’avancer et referme juste mes lèvres. Je touche sa queue avec ma bouche. C’est fait. C’est vrai que ça n’a rien de monstrueux. Après quelques secondes (enfin, c’est ce que je pense), Fabien se retire de ma bouche, mes lèvres frôlent sa bite sur toute sa longueur. — Bon, là, ça compte pas, ça fait trente secondes, mais tu me suces pas. Tu as juste mis ma bite dans ta bouche, on avait bien parlé d’une pipe ! Je remets le chrono à zéro. À ce moment-là, je ne pensais même plus au chronomètre, mais il avait raison, je l’avais juste enfourné, sans même bouger. — Excuse-moi, tu as raison, ça ne compte pas. Mais maintenant, tu peux lancer ton chrono, je suis prêt. Sur ces paroles, je frotte son gland avec la langue et fais pénétrer sa bite dans ma bouche. Un soubresaut le parcourt à nouveau. J’entends le bip du chrono. Alors, lentement, je commence à le sucer, en pressant avec la langue ou avec les lèvres, en exerçant une succion et en relâchant la pression. J’entends Fabien qui commence à gémir et ça m’excite encore plus. D’une main, je prends la base de son sexe et effectue des ...
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