Enfin déniaisé ! - Histoires de Sexe

Enfin déniaisé !

... ou pas ? Il avait dit ça avec un sourire en coin et le regard vicieux. Putain, il me faisait de plus en plus envie et je devais même admettre que si une femme suce une bite, y a pas de raison qu’un mec le fasse pas, ça doit pas être plus dégueulasse que de bouffer une chatte et maintenant, c’est même ma bite qui me demandait de la soulager, tellement elle était raide et coincée dans mon slip. — Fabien, je suis quand même surpris par tes propos, mais là, j’ai une trique du diable à cause de toi. Alors si tu veux me sucer la bite, je te la mets en entier à disposition.— Ah, ça commence enfin à devenir intéressant. J’ai une offre exceptionnelle à te proposer : tu commences par me sucer pendant trente secondes, et ensuite moi, je te suce pendant une minute. Tu as droit au double gratuitement. Alors, qu’est-ce que t’en penses ? Bon, là, il jouait un peu au vendeur de tapis, on aurait dit qu’il avait tout manigancé, mis à part que c’est moi qui avais commencé à en parler, quoique… j’en étais plus si sûr. Je venais à peine d’admettre que de se faire sucer par une femme ou un homme était un peu égal, mais j’avais pas encore réfléchi au fait de sucer une bite. — Attends, Fab, je t’ai dit que ça me dégoûtait de voir un mec sucer une bite, et toi, tu aimerais que je suce la tienne, et en premier de surcroît !— Encore une fois, tu vois pas les choses dans le bon sens. C’est pas un mec qui bouffe une queue, c’est toi qui fais monter au septième ciel ton meilleur pote. Et tu as pas ...

... confiance en moi ? Tu penses qu’une fois que tu m’auras un peu sucé je vais me casser ? Merci, l’ami. Il avait dit cette dernière phrase avec un ton de déception. C’est vrai que je venais de mettre en doute sa parole, lui qui était mon meilleur ami, qui n’était jamais revenu sur une de ses paroles. — Je m’excuse. Je voulais pas te blesser. Donc si je décide de te sucer une minute, tu me le feras pendant deux minutes ? Je sais pas pourquoi j’avais déjà doublé ce qu’il me proposait. Peut-être pour m’excuser. Mais maintenant, avec ce que je venais de lui demander, c’est comme si j’avais accepté. — Je vois que tu es très doué en maths, dit-il avec un large sourire. Mais tu ne m’as toujours pas dit si tu étais partant ou pas. Si tu décides de t’arrêter après dix secondes parce que tu es trop dégoûté, je te sucerai quand même vingt secondes, mais pas une de plus ! Bon, cette fois je m’étais décidé. Finalement, une bite, c’est qu’un bout de peau, un peu comme un doigt et ça me dégoûtait pas de me lécher les doigts. C’est fou ce à quoi je pensais pour me convaincre ! — Alors c’est OK, mais je te promets vraiment rien.— Laisse-moi ta place, comme ça je pourrai m’appuyer sur ce tronc. Je me déplaçai pour laisser Fabien venir s’installer. Comme moi, il s’installa de manière à regarder le sol. — Je vais faire partir mon chronomètre dès que tu auras déposé mon petit engin en bouche, dit-il en préparant sa montre. Je me déplace juste en face de lui. Comme le terrain est un peu en pente, je suis ...