1. Enfin déniaisé !


    Datte: 02/10/2018, Catégories: hh, jeunes, copains, forêt, intermast, Oral init, inithh,

    Mon histoire s’est déroulée au début des années 90. À l’époque des faits, je devais avoir entre 18 et 20 ans, je ne me souviens plus très bien. J’étais encore puceau et n’étais même pas encore sorti avec une fille. Il faut dire qu’a cette époque, j’étais assez mal dans ma peau, je n’aimais voir ni mon visage, ni mon corps. J’étais un peu l’intello de service et avais souvent été le souffre-douleur des classes que j’avais fréquentées. Je ne faisais pas partie d’une bande et mes copains se comptaient sur les doigts d’une main. Avec un de mes rares copains, Fabien, on allait régulièrement se balader en vélo le samedi après-midi. On faisait un petit tour tranquille et on aimait s’arrêter dans une mini-forêt en plein talus qui marquait la séparation entre un chemin et des pâturages. On planquait nos vélos derrière des fourrés et on allait s’étendre aux pieds des arbres. On passait des heures à discuter de tout et de rien. On fantasmait sur notre avenir. Fab et moi étions des confidents, on se racontait tout, nos "victoires" comme nos soucis. C’est sûr qu’on parlait de cul, mais ça restait toujours des paroles, et concernait rarement notre réel vécu, pour autant qu’il y en ait eu un. On restait quand même toujours très pudiques. Jusqu’à cet après-midi d’été… * * * * * Arrivés à notre repaire, on planque nos montures. Fabien se couche sur le tapis de feuilles et moi, je m’appuie contre un petit arbre qui poussait en Y et tout penché, ça me permettait d’être presque couché en dessus ...
    ... de Fab. On discutait de tout et de rien, et on a gentiment dévié sur les films de culs qui passaient sur Canal+ et sur les différentes pratiques : — Moi, ce que j’aimerais le plus qu’on me fasse, c’est une pipe, m’annonça Fabien, rêveur.— Ça doit être le pied, mais moi, en premier, j’aimerais sortir avec une fille, après, ce qu’on fait, ça m’est égal, pourvu qu’on le fasse !— Ouais, t’as raison. Pourvu que ce soit une cochonne. Ces idées de cul, me rappelèrent un truc que j’avais vu à la piscine et qui m’avait un peu surpris et dégoûté : — Un mercredi soir, y a deux trois semaines, j’étais à la piscine, tu devineras jamais ce que j’ai vu !— Quoi donc ? Y a une gonzesse qu’a perdu son maillot et t’as vu ses nichons ? Ou encore mieux, sa chatte ?— Oh, non, c’est bien pire que ça ! Je venais juste de finir mes traversées et je m’étais mis dans un coin pour récupérer. J’ai vu les jumeaux, Pierre et Fred, ils étaient avec Mathias et ils menaient un drôle de bal. Ils plongeaient à deux, remontaient peu de temps après et ils riaient bêtement.— Ah ouais, c’est vrai que c’est pire que de voir une gonzesse à poil ! me dit Fabien en riant.— Ben attends, j’ai pas fini. Comme ça m’intriguait, moi, j’ai remis mes lunettes de natation et je les ai observés. Figure-toi que quand ils plongeaient, le premier en bas sortait sa bite et l’autre arrivait dessus et le suçait. Ça durait à peine cinq dix secondes, le temps qu’ils remontent. Pendant ce temps le troisième les regardait faire. J’ai été ...
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