La détresse de l'aide soignante (4)
Datte: 03/10/2018,
Catégories:
Trash,
... soumise m’impressionnaient. Le sexe toujours fièrement dressé au-dessus d’elle, j’ai commencé à caresser son corps avec délicatesse. De sa gorge, je suis allé à ses seins que j’ai malaxé doucement cette fois-ci, puis sur son ventre, et jusqu’à arriver à l’orée de son string. En passant mes doigts sur la dentelle, je me suis rendu compte à quel point elle était trempée. J’ai caressé un moment sa fente à travers le sous-vêtement, le faisant glisser entre ses grandes lèvres qui s’ouvraient comme par magie. Elle coulait littéralement. — On dirait que tout ça t’excite énormément. — Oui monsieur, je n’en peux plus ! m’a-t-elle avoué dans un souffle. A ces mots, mes doigts ont écarté la dentelle pour dévoiler sa chatte baveuse. Deux doigts y ont glissent, avec une facilité déconcertante. Julie s’est mise à gémir à nouveau, tandis que je me mettais à la masturber. — Oh, c’est si bon, a-t-elle soupiré. usxullci Mais une claque sur son sexe lui a rappelé qu’elle n’était là que pour subir, et qu’elle devait rester silencieuse. Julie avait cependant du mal à se retenir, et les gémissements se faisaient de plus en plus forts. Mes doigts en elle produisaient un son de clapotis qui se mêlaient aux gémissements. Je sentais son corps se tendre face à la vague de plaisir prête à la submerger, aussi je me suis arrêté complètement. J’ai claqué son clitoris encore une fois, et j’ai remis sa culotte en place. Julie m’a regardé avec un air de chienne désespérée, ce qu’elle était sûrement. Je ...
... l’avais amenée au bord du précipice, et l’avais laissée là. Sadiquement. — Il n’est que 23h15, lui ai-je dis en regardant l’horloge de la télé. Prends ton temps. J’ai contourné le lit pour être face à elle, au niveau de ses jambes. J’ai fait glisser mes doigts sur ses bas, de ses pieds jusqu’à ses cuisses, et ai entrepris de défaire minutieusement ses jarretelles. L’une après l’autre. Me permettant ainsi de tirer sur sa culotte, et la faire glisser le long de ses jambes. Suite à quoi j’ai remis ses jarretelles en place. Cette lingerie m’excitait et je voulais la garder en l’état pour le reste de la nuit. J’ai pris quelques secondes pour admirer son sexe, parfaitement épilé, et dégoulinant de plaisir, avant de me lever, sa culotte à la main. — Ouvre ta bouche, lui ai-je ordonné en me replaçant à côté d’elle. Julie s’est exécutée, suite à quoi j’ai fourré le string trempé contre sa langue, derrière ses dents. Pour être sûr qu’il ne s’enfuirait pas, j’ai pris dans mon sac un rouleau de gros scotch, et en ai recouvert la bouche de Julie. Elle me regardait avec un air un petit peu apeuré, mais se concentrait pour bien respirer par le nez. Elle était à ma merci et elle le savait. En la tirant à nouveau par les cheveux, je l’ai forcée à se relever. Elle était déjà un peu chancelante, et ce n’était que le début de la soirée. Je l’a faite s’assoir dans le fauteuil qui se trouvait à côté du lit. Un grand fauteuil en cuir qui avait l’air des plus confortables. Je suis ensuite revenu vers elle ...